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HAJIME • aiiro hidora. (100%)

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MessageSujet: HAJIME • aiiro hidora. (100%) HAJIME • aiiro hidora. (100%) EmptyVen 20 Juin - 18:47



« Ashitaka Hajime Saitõ »



Carte d'identité


× Nom(s) : Yuki. • Saitõ.
× Prénom(s) : Ashitaka. • Hajime.
× Surnom(s) : Ashi. • Haji. • Aiirõ Hidora. • Hiirõ no Kirigakure.

× Âge : 31 ans.
× Sexe : Masculin.

× Situation : Célibataire.

× Village d'origine : Kiri.
× Grade : Juunin. • Membre du Haut Conseil. • Ambassadeur. • Chef du Clan Yuki.
× Rang : S.

× Spécialité(s) :
× Affinité(s) :
× Nom de l'avatar - manga de provenance : Hajime Saitõ. • Hakuouki.


Description physique


La physionomie d'Hajime est simple sans aller dans le complexe. Au premier coup d’œil on peut voir une corpulence assez svelte, sous son air empli de prestance et de noblesse dédaigneuse. C'est un air qui ne le rend pas si indifférent finalement. Cet aspect dédaigneux se reflète aussi bien aisément sous ses traits harmonieux, délicats et d'une légère pâleur laiteuse. Spectateur de son propre physique, il pourrait vous paraître doux à décrire, mais la réalité nous le révèle sévère et confiant quant au système shinobi.

Ceci contrastant avec ses cheveux de jais, soigneusement emprisonnés par un nœud. Cette queue de cheval repose la plupart du temps sur son épaule gauche tandis que sa frange recouvre une partie de son visage, accentuant cette impression de sérieux qui orne ses traits. Au niveau de ses sourcils: ne paraissant ni trop fins ni trop épais, ils se fondent bien dans une sorte d'aspect délicat, montrant qu'il peut être calme et posé.

Nous attaquons désormais une partie du physique qui et bel et bien digne de ne pas être considéré comme un simple détail. Des pupilles anthracites demeurent dans ses yeux, un regard aux allures insondables alors qu'il peut se refléter une lueur faussement indifférente envers toute personne, puisse t-elle se présenter à sa vie. Ce n'est que seul, à l'abri des regards ou lorsqu'il cherche à s'évader par le biais de son esprit, que ses yeux si ombrageux ne peuvent s'empêcher d'exprimer de la nostalgie.

Sous le silence résolument tenu par ses fines lèvres closes, retenant avec volonté ces mots qui pouvaient trahir ce passé qui lui manquait chaque jour. Le reste de son visage demeure tout aussi propre qu'un flocon de neige descendant dans le berceau de la Terre. Son menton est souvent caché par le port d'une longue écharpe de soie, reçue au Pays du Daimyõ étant plus jeune. Cette blancheur immaculée est importante pour l'homme qui l'a porte.

Ses pans restaient tout aussi bien impeccablement en son dos ou sur son épaule afin de ne pas le gêner dans ses gestes.  Pour ce qui est du style vestimentaire, il repose principalement sur le port du haori, vêtement traditionnel dans son village natal. Ses mains aux phalanges longues et fines, étaient sur et habiles sous la protection conférée des manches de son long kimono cyan & blanc, sous forme de longue veste, recouvrant le kimono ébène.

Sa démarche reste emplie de noblesse et de précision, sous une impulsion certes lente, mais dynamique. Sa posture droite relevait du stoïcisme, surtout quand le voile de ses paupières venait à couvrir ses orbes grises, lorsqu'on venait à lui parler.  Aucun tic ne se présente au niveau de sa gestuelle, ne désirant pas trahir sa personne, il s'avère qu'au fil du temps il soutient un aspect compréhensif vis-à-vis des ninja.

Cependant si l'on met en parallèle ses aptitudes au combat ainsi que la façon dont son corps est formé, nous ne pouvons nier cette célérité qui s'empare de ses mouvements lorsqu'il manie le sabre. Il est donc malvenu que de se leurrer sur son apparence si lattant, et un poil arrogante même s'il ne cherche pas à laisser transparaître cela.



Description psychologique


A travers son regard bleuâtre on discerne de la sévérité, et un caractère inflexible. Du moins, c'est bien entendu ce qu'il fait transparaître. Son silence soutient sa discrétion et son allure exemplaire, ce qui peut laisser croire qu'il cherche à créer une distance respectable entre ce qu'il ressent et ce qu'il doit faire, cherchant une discipline plus qu'irréprochable en tant que shinobi d'élite. En allant un peu plus loin, la psychologie d'Hajime repose aussi en partie sur une forme de fierté. Un sens de l'honneur,  sans oublier une droiture incontestée.

Ce sens du respect des lois le fait passer outrageusement pour un homme bien trop calme et sage. Sagesse bien entendu cachée sous le rideau de l’impassibilité, qui faisait de lui un être réfléchit et non une personne des plus téméraires. Stratégique, intelligent, son esprit de l'analyse le rend assez habile. En effet, l'interprétation des faits est en soit un exercice des plus habituels pour l'homme qu'il est, parvenant à résoudre les problématiques qui s'imposaient à lui. Il peut faire preuve d'un puissant individualisme, il lui arrive parfois de s'enliser en un silence des plus persévérant.

Cela ne le rendant que plus mystérieux, il ne reste pas indifférent face à cette partie de sa personnalité. Jadis il aurait ignoré toute sorte d'aide sous le carcan de la fierté, mais aujourd'hui il est conscient que sa mentalité présente des failles. Il faut souligner que seul son entourage actuel demeure être le seul a connaître notre élite de telle sorte à ce qu'il fasse preuve d'humanité à leur égard. Ce n'est qu'une question d'habitude. Des mots qui ne sortent qu'avec parcimonie de ses lèvres pâles, un ton grave qui s'imprègne de ses paroles...  C'est là un art qu'il n'employait point à outrance. Mais ses façons d'être relevaient une stratégie qui offrait un atout conséquent.

En effet, cette forme d'indifférence prenait un rôle de voile qui cachait toute forme de faiblesse. Ne se laissant guère impressionner par son adversaire, quel que soit son niveau. Mais face à une personne un peu trop confiante, Hajime ne se fera jamais prier pour le rabaisser avec verve tout en faisant preuve d'un cynisme cinglant. Et autant dire que la futilité est un affront à sa patience, alors il lui faudra un sens à tout affrontement. Mais c'est là que l'on cerne le contraste entre son enfance et le passage à l'âge adulte.

Jadis il fut impulsif, et d'une colère surprenante. Naïf, il matérialisait toutes sortes de rêves et on peut dire qu'un arc de sa vie lui permit de reprendre le contrôle, et c'est ce qui signa le passage à ce fameux âge adulte.   Conscient des changements de Kiri, il a vite considéré qu'il devait prendre acte du changement au plus vite avant que le passé ne le rattrape.  Et même si son passé est scellée, il pense qu'il y a toujours moyen que cela se joue sur un revers de situation, chose qu'il tient à éviter.

Il n'est pas rare de remarquer son absence dans ses appartements quand la nuit se lève. Allez savoir pourquoi, mais il semblerait que l'obscurité égaillée par la clarté d'une lune si veule, avait le don de remettre de l'ordre dans son esprit. En son fort intérieur, certaine nuit lui semblait si apaisante. C'était l'un des rares moments où il pouvait enfin réfléchir à ses décisions, sur son avenir en tant que shinobi sans que personne puisse l'interrompre.

Dans ces moments il ne se laissait pas emporter par ses réminiscences plus anciennes qui avaient marqué un pan de sa vie. Ses pas l'ont souvent mené jusqu'aux cours d'eaux de certaines contrées.  Quand son regard transperçait l'eau, cela semblait être un ravissement que de s'observer alors que dans les fines profondeurs demeuraient certains poissons à l'origine de ces mouvements discrets et élégants. Alors que l'astre nocturne faisait reluire par moment leurs écailles, forçant notre cher Hajime à fermer les yeux et ainsi se concentrer sur la raison de sa vie en ce lieu.

Autant souligner ce qu'il représente en tant que ninja désormais. Bien que vous ayez compris que ce n'est pas lors d'une rencontre avec lui que l'on tire une quelconque information personnelle. Il reste quelqu'un à cheval sur les nouvelles lois de Kiri, souhaitant à tout prix enterrer le brouillard sanglant. Sa fonction hiérarchique... Ce dernier la prend très à cœur. Il suit le mouvement, mais d'où il se tient... Il peut se permettre de guider lui aussi le village sous l'égide de Terumi Meï.




Histoire



Placer le contexte dans lequel est né notre ambassadeur du Kirigakure actuel est une priorité. Il est important en effet de décrire les origines de son prénom ainsi que la famille dans laquelle il s'est vu grandir. A commencer par le village de Kirigakure qui, lorsqu'Hajime naquit, étant sous le règne de la troisième ombre de l'eau. Un homme qui aida le village à prospérer dans la paix, l'excluant de tout conflit avec d'autres nations. C'est à 7 ans de la fin du règne de ce grand homme qu'Hajime naquit. Issue d'une grande famille, celle-ci elle-même liée à celle du futur Yondaime Mizukage: Yagura. Pour la famille Saito, le choix du prénom était dû à la réputation aiguisée du Jinchuuriki de Sanbi au sein du village. Idolâtrant ce jeune homme, il s'avère que le réceptacle eut le choix de choisir le prénom du nouveau né: Hajime. Un choix de prénom qui plus tard sera regretté. Mais nous n'y sommes pas encore, penchons nous du côté de son enfance dans laquelle il put s'épanouir, du moins... pendant les 12 premières années de sa vie. C'est sous un hâvre de paix qu'Hajime vit le jour, il n'était pas fils unique. En effet, ce dernier avait même un frère aîné: Saitõ Gentaro. Ce dernier fut d'un véritable soutient et un  exemple pour le cadet qui put nourrir déjà une  affection pour Gentaro.

Il est important de souligner que Saitõ put bénéficier de la présence d'un "grand frère" de coeur. Yagura, le Jinchuuriki de Sanbi. Ce dernier s'était montré relativement proche de Saitõ afin de l'épauler sur les bases ninja avant même qu'il n'intègre l'académie. Ayant quelques acquis en poche, Saitõ commença à nourrir une affection prononcée pour ce qui était du Kenjutsu. A partir du moment où les entrées à l'académie se firent, il avait déjà son but en tête: devenir l'un des sept spadassins du village caché de la brume. Il voulait que sa réputation s'étende sur tout le continent. Il voulait servir d'exemple pour les futures générations, tant d'ambitions habitaient déjà un si petit garçon. S'il y mettait du sien, il serait apte à accomplir son dessein. C'était tout du moins ce que lui disait Yagura pour encourager Saitõ à s'épanouir sur cette voie. C'est donc le jour de son intégration à l'académie qu'il se forgea un véritable entourage. Il savait qu'il allait pouvoir compter sur des amis, évoluer avec eux dans ce monde qui lui paraissait si grand... drapé de multiples merveilles. Les rêves des enfants s'étaient matérialisés, maintenant il ne leur restait plus qu'à les réaliser. Il fit deux rencontres précises qui allaient comme changer sa vie, deux amis qui allaient l'épauler tout le long de son existence. Car autant le préciser, s'il est l'homme qu'il est aujourd'hui... C'est grâce à eux.

Terumi Meï & Shin'Ichi Raïma. Une fille et un garçon qui avaient pour ambition de devenirles meilleures shinobi du village caché de la brume. Se hisser parmi les élites afin de surplomber fièrement le village. Voie à laquelle aspirait Saitõ, ce pourquoi il put se lier d'amitié bien rapidement avec elles. Au fil du temps, ils furent poussés jusqu'à devenir les meilleurs de leur promotion. Ceci renforça leur caractère et leur permit de faire leurs premiers pas vers le but de chacun d'entre eux. Durant des années ils surent satisfaire les attentes des enseignants, et ils surent aiguiser l'intérêt d'une des élites du village. Cette dernière avait une réputation qu'elle tenait de son grand-père: Le Shodaime Mizukage. Cette femme ? Chizuru Kirigakure. Cette descendante de la première ombre de l'eau s'était portée volontaire pour superviser notre fameux trio. Désireuse de savoir jusqu'où ils iraient plus tard. Elle avait trouvé des futurs élites du village. A leur obtention du diplôme, elle les intégra dans son équipe. Cette même année, un drame se produisit. Le règne du Sandaime avait été remplacé par celui de Yagura le Jinchuuriki. Ce dernier avait fait perdurer l'ère pacifique de Kiri pendant quelques temps. Mais pas assez, car le régime de Kiri changea vite du tout au tout. Celui du Brouillard Sanglant naquit.

Saitõ fut le premier surpris quand le Yondaime Mizukage fit de Kiri une véritable dictature. Sa politique était comme si les idéaux de ses prédécesseurs n'avaient jamais existé. Tout avait été si rapidement taclé, le village de Kiri avait perdu de sa crédibilité. Un village aux préceptes peu admirable. C'était à croire que le village s'était partagé en plusieurs parties. Nous retrouvions les partisans volontaires du régime, ceux qui s'y opposaient, et ceux qui se faisaient petits tout en marchant droit pour ne pas être châtiés par l'autorité suprême du village. C'est dans cette troisième catégorie que Chizuru, Hajime, Meï & Fuuka se trouvaient. Mais les changements n'empêchèrent pas le jeune trio de vouloir réaliser chacun leur rêve. Hajime améliorant chaque jour  son niveau d'épéiste, il voulait que l'un d'eux le remarque en effet. Mais c'est à peine s'il se fit doubler par son frère aîné, Gentaro, qui lui grilla la place. C'est auprès de Kuriarare Kushimaru qu'Hajime voulait apprendre l'art du sabre et ainsi hériter de Nuibari tout comme d'une réputation d'adepte bretteur. C'était son nindõ qui se brisa sous ses yeux, il ne savait pas quoi faire. Sa volonté de shinobi s'éteignait comme une bougie déplacée sur le passage d'une vague. Mais Chizuru entra en scène, refusant que son élève se laisse abattre. Elle lui ordonna alors de se forger un but puisse t-il être similaire, mais qu'il pourrait accomplir sans pour autant devenir une légende. Hajime peaufina cela pendant plusieurs années, l'examen Chuunin se fit et fut réalisé avec succès.

Il allait bientôt être temps. Son nindõ s'était formé alors qu'il avait bien grandi. Et ce, aussi bien mentalement que physiquement. Néanmoins, il en voulut toujours à son frère, Gentaro, de lui avoir sucré sa place en tant que futur bretteur légendaire de Kiri. Mais cela, Hajime comptait bien y remédier en devenant la plus fine lame du village caché de la brume. Et ce n'est pas faute de le souligner, car il se révèle être un maître dans ce domaine aujourd'hui... Pouvant donc faire jeu égal avec ces épéistes au niveau de la maîtrise des armes. Il savait qu'au fil des années, il serait de taille et saurait être reconnu des gens du village. Ainsi soit-il, Hajime se contenta de s'épanouir avec son équipe, bien qu'il était difficile de leur arracher un sourire vu le quotidien qu'ils menaient. Hajime eut même une idôle Ryõku Menshû. Un grand ninja de Kiri qu'Hajime respectait pour sa droiture incontestée. Ceux ayant connu Ryõku trouveraient que nous le retrouvons en Hajime. Du moins sur certaines caractéristiques. Et il est important de souligner que c'est Ryõku qui sut persuader Hajime de laisser tomber ce lien qu'il entretena autrefois avec Yagura. Qu'il était trop tard et que peu importe ce qui lui était arrivé. Et que pour ce qui allait être prévu, il valait mieux qu'Hajime ne ressente plus que du mépris envers l'actuel Yondaime Mizukage. Un coup d'état allait être mis en place. Et de la partie allait être Ryõku, Hajime ainsi que les sept épéistes.

Voilà qui était risqué, et Gentaro tenta même de convaincre son cadet d'abandonner. En vain. "Nous arrivons à un moment où nous devons faire un choix. J'ai choisi de m'affirmer, et toi de t'aligner. Je ferai ce coup d'état." Tels furent les mots d'Hajime envers celui qui avait brisé son rêve, même s'il demeurait son grand frère, sa famille et son sang. Ce lien n'empêcha pas Hajime de faire ce qui lui semblait être le plus juste. Il allait se battre au nom de ce que tous les anciens Mizukage avaient protégé. Les valeurs pacifiques du village primaient, et ce fut à cause du Yondaime Mizukage que Kiri entra en fin de guerre lors de la Troisième Grande Guerre des shinobi. Cette fois-ci, Hajime devait éliminer celui qui avait choisit son prénom. Cette fois il était persuadé que son but serait de défendre les futures valeurs de Kiri. Et il était prêt à remettre ses espoirs envers celle qu'il a toujours connu pour avoir été la plus douée et ambitieuse de l'équipe: Meï. Il y avait des chances pour qu'il perde la vie durant cette tentative de récupération de la liberté, mais où il en était... Ce n'était plus le temps de faire marche arrière. Confiant comme jamais, Hajime s'entraina durant des années pour être prêt le jour où tout se fit. Mais il s'avèrait qu'apparemment, ce fameux jour... Le Yondaime fut préparé à cela. Sa garde rapprochée ainsi que lui-même se chargèrent personnellement des acteurs du coup d'état... Ainsi, un drame arriva.

Le drame, était que ce coup d'état se solda par la mort directe de Menshû Ryõku. Tandis que les sept spadassins furent battus, bien que difficilement, ils perdirent de toute manière. Ces personnes, considérées comme des héros pour les Kirijin qui étaient contre le régime, désertèrent pour ne plus avoir affaire au Yondaime Mizukage. Et quant à notre cher Hajime Saitõ ? Il fut retenu, et sa survie lui valu un tour dans une prison assez spéciale. La prison de sang, aussi appelée Hõzukijõ. Le centre d'emprisonnement de Kusagakure où chaque village enfermait ses traîtres-criminels. N'importe qui peut y entrer, mais n'importe qui ne peut pas en sortir. Sauf si une nation réclamait la récupération d'un des leurs pour une affaire ou une autre. C'était donc un endroit où étaient enfermés les ninja de tous les villages qui ont causé des problèmes, que cela soit de l'échelle d'une petite nation ou d'une grande. C'était ainsi que privé de ses armes et de son bandeau frontal... Il fut envoyé dans ce pénitencier à la réputation presque mondiale. Le fait d'être envoyé en prison, et non pas être exécuté par Yagura se justifia à travers le lien qui unissait Hajime et Yagura. Un brin de nostalgie éveilla une sorte de clémence chez le Mizukage qui préféra le laisser vivre. De toute façon, Hõzukijõ employait l'exécution et personne ne pouvait s'échapper de la prison à cause de sa position géographique. Des récifs et des siphons empêchait les prisonniers de quitter l'île. Il reçut d'un homme une technique qui fut apposée sur son corps: Tenrõ. Une technique qui scelle le chakra de l'adversaire, bloquant les pores de la peau pour éviter que ce dernier fasse appel à l'énergie spirituelle et qu'il s'épuise rapidement quand il était question de l'énergie physique. Autant dire qu'il n'allait pas se plaire dans cet endroit.

C'est ainsi qu'il fit le vide. Restant des plus discrets pour ne pas se faire repérer et ainsi profiter du petit luxe qui lui était attribué. Il devait faire avec les moyens du bord après tout, et penser à d'autres choses que de faits pessimistes. Tels que: est-ce que Kiri s'en sort ? que devenait Meï ? Que devenait Fuuka ? Que devenait Chizuru ? Avaient-ils décidé de continuer de se battre afin que le village puisse connaître enfin le repos qu'il méritait ? Il refusa de croire que Meï était décédée, il avait nourrit tant d'espoir à ce que la Terumi réalise son rêve afin de devenir la kunoichi la plus puissante de Kiri. Et il savait qu'en plus de la force, elle serait accompagnée d'une sagesse incontestable. Il comptait aussi sur Shin'Ichi pour l'épauler, certes. Mais lui, il restait entre ces murs éloignés de toute nation. Sa volonté en revanche elle, ne fit que se renforcer. Il finit par arrêter de penser, cette façon de faire ne pouvait que renforcer la solitude déjà trop présente dans cette prison. Et ceci porta ses fruits car il y a trois ans... un homme qu'Hajime connaissait bien fit son apparition: son paternel. Cet homme était accompagné d'une bonne centaine de Kirijin, ces derniers se faisant représentant de la nation des eaux. Ils venaient récupérer Hajime. Ce dernier pensa que le Yondaime avait décidé de l'exécuter alors il accepta de rejoindre Tsurugi. Ce dernier maintenant le silence tout le long du voyage. La question qui demeurait était... Pourquoi l'avoir fait sortir de prison ?

Et il eut sa réponse en revenant au village. Terumi Meï, cette dernière avait accompli ce qu'elle avait toujours désiré... Elle était devenue Godaime Mizukage, Cinquième Ombre de l'Eau. Un titre des plus prestigieux en plus de rentrer dans l'élite, elle allait entrer dans l'histoire. Et Hajime n'en put être que ravi. On lui avait remis le brandeau frontal autrefois retiré, ainsi que ses affaires de shinobi. Ce dernier décida alors d'adopter bien vite les principes de Meï... Prenant acte du changement, il devint alors un des modèles de Kiri. Son rêve allait se faire sur le long terme, il épaulerait Meï dans ses projets jusqu'à ce que sa vie ne s'achève d'une façon ou d'une autre. Ainsi donc, il monta dans la hiérarchie afin de devenir une personne à l'esprit d'un leader. Il devint le chef des forces spéciales de Kiri, plus précisément... Des chasseurs de déserteur. A l'heure d'aujourd'hui il reste quelqu'un de respecté par Kiri, l'un des rares héros à avoir tenté quelque chose contre le Yondaime Mizukage. Les remords n'habitent pas Hajime quant à son action envers le village il y a des années. Ses années à espérer en prison que Kiri se relève plus fort que jamais... Il avait pu voir la résurrection de sa nation natale. Ne croyez pas le cerner si facilement, même si son rêve se brise... Sa volonté sera toujours présente. Aussi solide soit-elle, craignez le.

Et oui car depuis sa sortie, il réalisa bon nombre d'exploits. Comme si sa volonté n'avait cessé de s'accroitre durant ses années passées en prison pour enfin éclater à sa sortie. Il avait la force d'aider Meï à gouverner Kiri pour faire oublier ce régime sanglant aux habitants qu'il chérissait tant. La joie était indescriptible pour cet homme accueilli en héros. Pour cela il se devait d'assurer une place importante grâce à ses exploits exécutés envers la nation. C'est ainsi qu'il s'engagea aussi bien dans la branche de la politique de Kiri sans oublier son devoir de shinobi car tel était son dessein de jouer sur tous les fronts, puisse t-il apporter son aide envers toutes ces personnes qui le soutenaient et surtout soutenaient Meï. Lui-même se considérait comme un pilier du village, de telle sorte qu'il puisse tenir vers le ciel l'oeuvre de la Mizukage. Durant des mois il ne cessa de croitre dans le projet de démocratie, et il nourrissait de jours en jours une affection particulière pour le dessein d'un monde où la paix ne se verrait qu'à travers la confiance. Il savait que les conflits étaient éternels, et  même qu'on ne pouvait pas les bannir il y avait un moyen de les étouffer. Ce pourquoi il tenta aussi bien de fomenter d'innombrables hypothèses sur la façon de s'y prendre. Aussi bien connu en tant que shinobi qu'en tant que membre du haut conseil, il demanda au Daimyõ de faire de lui le Juunin Ambassadeur du Pays de l'eau. Ce projet avait pour but de faire transmettre aux autres nation un idéal réaliste.

Et c'était ainsi que vint sa promotion. Et la même année, le même jour... Son père, Tsurugi. Fut assassiné. Ce dernier était en mission pour récupérer le Jinchuuriki Utakata, et voilà que ce dernier avait aussi disparu. Hajime ne croyait pas en l'hypothèse d'un meurtre venant du Jinchuuriki, il savait qu'Utakata n'était pas un homme disons... stupide. Il décida de mener son enquête bien que ses airs optimistes furent mis de côté. Il adopta un côté méfiant car Kiri avait déjà perdu Sanbi, et Rokubi venait de leur échapper et c'était évidemment quand ils avaient envoyés des élites à la poursuite d'Utakata qu'ils ne donnèrent plus de nouvelle. Jusqu'à ce qu'ils soient annoncés décédés. Il avait une piste mais il hésita à la suivre dans la mesure où il ne voulait pas risquer de perdre des personnes dans cette enquête. Même si cela voulait dire sacrifier des personnes il refusa d'approfondir cette voie. Il pensait à l'Akatsuki, vu que ces derniers s'étaient joués de Kiri. C'était grâce au Byakugan qu'ils l'avaient remarqué. Et Hajime eut raison de soulever cette hypothèse car des jours après vint le conseil des 5 Kage et l'engagement de la 4è Grande Guerre Ninja. Il s'agissait du deuxième grand conflit qu'Hajime allait connaître dans toute sa vie. Mais cela pouvait être le combat de l'idéaliste qu'il était. Des valeurs à défendre, un père à venger aux côtés de son grand frère. C'était sans savoir qu'ils étaient tout de même loin de s'imaginer ce qu'ils auraient à affronter une fois sur le champ de bataille.

En tant qu'ambassadeur il eut besoin faire acte de sa présence aux côtés du seigneur du pays de l'eau afin de recevoir les informations vis-à-vis du Conseil. C'est là qu'on leur raconta les évènements du Pays du Fer qui n'étaient que l'annoncement d'une nouvelle ère de guerre. L'Homme engagé qu'il était se décida à mettre en oeuvre ses capacités politiques afin d'établir un lien entre chaque nation. C'est par la force des mots qu'il exprima ce qui allait les unir et rapporta un bon nombre de fois l'importance qu'avait cette alliance pour les progrès du shinobi. Leur histoire devait être contée, la démocratie devait continue de s'étendre sur le continue et c'est en évoluant dans le même système que les pensées pouvaient converger vers un même but, un même idéal. Hajime était dès lors le plus qualifier de Kirigakure afin de porter le message d'une mission de cette envergure. Il représenta alors son village natal auprès des autres nations, ceci dans un but uniquement diplomatique. Et il continua d'exercer sa fonction de membre du conseil pour les préparatifs de la guerre. Plus précisément, il géra l'utilisation des fonds de la nation dans l'armement et la mise en place des quartiers médicaux qui allaient être dirigés par Shizune Katõ. Après les préparatifs, Hajime rejoignit alors les rangs de l'armée shinobi.

Hajime  et son aîné furent placés dans la même équipe même de part leur fonction hiérarchique élevée, ils ont préféré suivre les ordres du ninja copieur. Hajime ressentait que la bataille aux côtés de Kakashi Hatake allait être fructueuse et non regrettable. Et c'était bien entendu ce qui arriva alors que leurs adversaires se présentèrent à eux comme étant les 7 spadassins défunts de la brume. Hajime dont on disait excellent spadassin allait enfin tester ses capacités face à ceux qui furent ses frères d'arme jadis. Il les affronta avec le reste de l'armée et ses capacités lui permirent de rester en vie jusqu'à la fin. Il avait réussi à les blesser mais leur mode réincarnation des âmes les remettait sur pied un rien de temps. La guerre dura longtemps et les deux frères de Kiri ne ressentaient pas la fatigue. Ils étaient habités par la rage de vivre, c'était ce qui leur permettait d'alimenter leur force motrice et chaque coup porté était un pas de plus vers le camp des survivants. Ils se devaient de protéger leurs nouveaux alliés qui pour Hajime ressentait une profonde affection patriotique. Il savait que la paix n'était pas présente dans le coeur des hommes mais elle l'était à travers la confiance que chacun pouvait s'accorder. Tout s'enchaina si vite alors qu'il prenait conscience de l'importance qu'avait chaque humain, chaque bijuu au sein de la guerre. Une unification, et ceux qui voulaient les soumettre devaient périr. Uchiha Madara & Uchiha Obito, tout comme le jeune Uchiha Sasuke qui demeurait un ancien adversaire des 5 Kage. Hajime avait bel et bien l'intention de les défaire.

Du moins avec l'aide de sa nation. Jamais il n'avait ressenti autant d'ardeur au combat, c'était sûrement parce qu'à partir de ce jour.. Tout avait été remis en cause. Les deux frères n'avaient jamais utilisé leur musubi (lien de combat) aussi bien, ils voulaient être sûrs de gagner la guerre et c'est ce pourquoi ils n'ont cessé de combattre et ce même si leur force motrice ne devait pas leur permettre de bouger. C'est la volonté qui les anima jusqu'à ce que l'impensable se produise. C'est alors au milieu du champ de bataille que s'éleva le Juubi, le démon à 10 queues. Les rumeurs se confirmèrent finalement. Hajime sentit son existence s'évaporer alors qu'il prenait conscience qu'il ne représentait rien dans ce monde de shinobi. Il ressentait la peur pour la première fois mais le soutien fratricide de Gentaro l'évacua des frissons pour maintenir position comme le reste de l'alliance. C'est aux côtés du jeune Uzumaki Naruto qu'Hajime réalisa qu'un garçon aussi jeune pouvait porter tous les fardeaux du monde. Et lorsque l'attaque ultime contre le Juubi, les jutsu combinés de l'alliance, fut lancée.. Hajime s'élança en première ligne. Il allait attaquer de front le démon, et même si l'attaque atteignit son but.. Le Juubi était encore en vie. En se mettant en retrait il continua de protéger les shinobi de sa nation, représentant Kiri en l'absence de Meï (ne savant pas qu'elle avait été mise mal en point), il espéra bien qu'elle revienne le plus vite possible. Et voilà qu'une autre phase fut enclenchée... Celle de l'arbre sacré.

Un arc de sa vie qu'il n'était pas prêt d'oublier. Car même s'il s'était battu sans relâche pendant cette guerre, la manifestation de cet arbre représenta quelque chose de précis. Le déclin de l'ère des nations. Et c'était ce végétal qui de par ses racines ôta la vie à d'innombrables shinobi en reprenant leur chakra. Rendre à César ce qui appartenait à César. Son agilité et sa rapidité tout comme sa force lui permirent dès lors d'esquiver et trancher quelques branches en voulant à sa vie. Il avait même réussi à sauver certains de ses alliés, mais c'est en tentant de les sauver qu'il avait failli mourir. Un seul moment d'inattention avait suffit à l'exposer à la mort. Mais si je vous conte son histoire c'est bien parce qu'il est encore en vie. Et c'était grâce à son frère ainé qui s'interposa via une technique de Kenjutsu et Ninjutsu entre lui et une branche plus qu'imposante. Gentaro protégeait son petit frère, ses frères d'armes qui étaient derrière lui... Et il ne laissait pas qu'eux, mais aussi une fille, nièce d'Hajime. Le laps de temps où Gentaro retenait le pouvoir sacré suffit à Hajime d'évacuer la zone pour laisser son frère mourir. Il le fit à contre-coeur et ne montra jusqu'aujourd'hui aucune douleur physique. Mais de l'intérieur il était littéralement détruit. C'est cette peine qui s'envenima en lui qui lui permit d'éveiller dans une colère silencieuse son Kekkei Genkai. Jamais il ne s'était douté d'avoir un tel don.

Le Hyôton. Pour lui cela ne voulait dire qu'une seule chose: il avait la force de se battre. Encore plus à ce moment qu'avant. Il utilisa son pouvoir à bon escient, bien qu'instable il sut s'en servir de façon à garder le plus de ninja en vie. Et ce jusqu'à ce que les Kage reviennent. Il avait su représenter Kiri comme il le fallait malgré la mort de son frère ainé. Son amie d'enfance, mais aussi supérieure revenue auprès des siens le motiva encore plus. Sa tenue shinobi en lambaux, il se trouvait juste derrière Meï et derrière lui il y avait les forces de Kiri. Tous les shinobi semblaient prêts pour arracher l'arbre. Et voilà que tous ensemble ils se chargèrent de déraciner l'arbre. Tous tenaient le végétal de façon à l'empêcher de finaliser le projet Tsuki no Me. Leurs efforts confortèrent Hajime dans l'optique où il croyait encore à une union des cinq nations. Et puis tout s'enchaina, Hajime ressentait l'irrésistible envie de ployer mais il y fit face, étant lui aussi une figure héroïque de Kiri. Il ne voulait pas que l'alliance ait des doutes sur sa volonté de combattre. Cependant, il fut spectateur du combat Maito Gaï contre Madara alors qu'il venait d'être grièvement blessé. Meï ordonna sa retraite sur une falaise où il recevrait les premiers soins et voyant le combat légendaire, la technique qui avait mis en difficulté les sept spadassins auparavant... La porte de la mort. Une telle élégance dans une puissance qui avait fait plus que mettre Madara dans une situation précaire. Car l'acte héroïque de ce Juunin de Konoha avait permis à l'alliance de gagner la guerre. Hajime s'endormit finalement le sourire aux lèvres quand plusieurs minutes après, on lui confirma la mort d'Uchiha Madara.

Au final il se réveilla trois jours plus tard, le sommeil lui avait porté conseil et il se réveilla au village caché de Kiri où il comptait bien reprendre ses fonctions de membre du haut conseil, tout comme celle d'ambassadeur. Il dut suivre une rééducation qui dura encore plusieurs jours de façon à ce que le shinobi qu'il était puisse ressentir la joie de vivre. Il participa aux affaires politiques et militaires, alors qu'intérieurement il était contre l'exécution d'Uchiha Obito. Pourquoi cet Uchiha devait mourir et pas Sasuke qui avait autant à voir dans l'Akatsuki qu'Obito. Ce shinobi qui retroussa ses manches pour aider les nations contre les destructions causées par Madara. Et c'était pendant sa rééducation qu'Hajime eut accès au secret familial des Saitõ, chez son frère Gentaro. Il y avait une lettre de ce dernier, elle avait été rédigée juste avant la guerre et présentait les mots suivants:

"Mon cher petit frère,

Il a été difficile pour notre père de te l'avouer étant donné que tu n'as jamais éveillé ce pouvoir qui est censé dormir en toi. Mais il savait qu'un jour tu aurais été amené à le manifester. C'était pour ça que je t'écris cette lettre. Ta véritable identité est: Ashitaka Yuki. Tu fais partis de ce clan, qui à l'époque, fut persécuté pour son Kekkei Genkai.
Père n'adhérait pas du tout envers cette infamie et durant une mission il t'a recueilli alors que tes parents venaient de mourir pour leur... différence. Il t'a épargné ce châtiment en t'adoptant.
Tu restes mon petit frère et je n'ai de cesse plus d'affection pour toi au fil des jours. Si tu lis cette lettre, c'est que j'ai trouvé une utilité pendant la guerre. J'ai enfin trouvé une raison d'être en tant que grand frère.

Bien à toi,

Saitõ Gentaro.
"

Tout était dit finalement. Il avait ressenti de la frustration mais aussi de la joie quant à cette révélation. En tant que membre du conseil il avait un nouveau but, instaurr une nouvelle justice. Il voulait nettoyer le passé, il voulait que son clan biologique retrouve de sa superbe et qu'on ne le juge plus pour sa différence. Il devait retrouvé ces membres éparpillés, et enlacés par la peur d'être utilisé. Il garda son identité d'Hajime Saitõ car c'est celle-ci qui fit de lui l'homme qu'il est devenue et après quoi... Avec l'appui de Terumi Meï et des autres membres du conseil, il eut l'autorisation de reformer le clan Yuki, et à la tête de cette famille de glace... Lui, Hajime Saitõ. Une nouvelle ère commence et les troubles se font sentir, quelque chose qui déplait au shinobi mais plus investi que jamais, il est temps pour lui d'agir et de se faire connaitre. Telle est sa volonté.



En Résumé


Hajime Saitõ, de son identité biologique: Ashitaka Yuki est le fils adoptif de Tsurugi, le capitaine Oi-nin défunt de Kiri. Il a été adopté par ce dernier afin d'être épargné par la persécution envers les shinobi ayant un Kekkei Genkai. Hajime a grandi et fut l'élève d'une Juunin de haute renommée aux côtés de Meï et d'une autre fille. Il a toujours excellé dans les arts du sabre et de l'assassinat couplé à sa célérité et son expérience du Ninjutsu. Il a été formé de façon à plus tard, participer au coup d'état envers Kirigakure alors que le village sombrait dans la dictature. Coup d'état échoué et qui s'est soldé par la désertion des sept épéistes. Hajime fut placé dans la prison qui regroupait les traitres à leur village: Hõzukijõ, à Kusagakure. C'est pendant des années que l'homme resta entre quatre murs aux côtés des pires ordures des grandes et petites nations. Et ce n'est qu'au bout de quelques années que le Pays de l'Eau déposa un mandat demandant la récupération du shinobi Hajime. Il sortit de prison et reprit son rôle de Juunin tout en excellant dans la politique de la nation et du village. Il traversa la quatrième Grande Guerre où il s'éveilla à son Kekkei Genkai suite à la mort de son grand frère. Depuis la guerre, Hajime a montré son mécontentement quant à l'exécution d'Obito qui selon les dires de l'Hokage, s'est déroulée comme il le fallait. Si Hajime n'était pas d'accord, c'était à cause du prince Uchiha Sasuke, épargné de ses actes envers les nations lors du sommet. Ce n'est pas sans rappeler le fait qu'il s'est battu jusqu'au sang face aux cinq Kage.. Et cet acte aussi inqualifiable soit-il, Hajime a toujours jugé et juge que cet Uchiha doit aussi être exécuté.


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Dernière édition par A. Hajime Saitõ le Lun 23 Juin - 0:05, édité 3 fois

Ashitaka H. Saitõ
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MessageSujet: Re: HAJIME • aiiro hidora. (100%) HAJIME • aiiro hidora. (100%) EmptySam 21 Juin - 13:38

Bienvenue Ashitaka,

Il me revient le privilège de corriger la présentation du futur ambassadeur de Kiri alors... HAJIME ! (règle sur les blagues moisies : elles ne deviennent moisies qu'après moi). Dans l'ensemble, je dois dire qu'il s'agit d'une bonne présentation ; surtout pour l'originalité du personnage et de son histoire (mais j'y reviendrai). Pour le reste, je connais déjà ton style et le retrouve avec les élans et le travail du rythme qui le caractérisent ; malgré de nombreuses fautes syntaxiques ou de formes grammaticales dans chaque partie de ta fiche. Voilà donc le premier point négatif selon moi, et le plus gros.

Quelques exemples pour illustrer mon propos. Dans le premier paragraphe du physique, « se reflète aussi bien... » attend une suite et ne peut pas se terminer sur la première proposition ; ça casse le rythme de lecture que tu parviens néanmoins à installer, et au bout de plusieurs paragraphes, je dois avouer que l'atmosphère que tu crées nous échappe. Je pense qu'une grosse relecture à haute voix aurait nettoyé tout ça et t'aurait permis de repérer les passages douteux musicalement. À plusieurs moments, tu remarqueras que ton texte devient trop lourd, précisément à cause des formes qui sont bricolées à l'envie, mais pas selon leurs règles.

D'autres phrases manquent d'équilibre selon moi. Beaucoup trop de complétives, et parfois de complétives dans la complétive alors qu'un usage plus souple et diversifié d'adverbes différents suffirait à rendre la phrase agréable et à conserver son dynamisme. Et pour aller jusque dans les cas extrêmes, il y a des passages que je n'ai absolument pas compris : « Il est donc malvenu que de se leurrer sur son apparence si lattant, et un poil arrogante même s'il ne cherche pas à laisser transparaître cela » ; qui ne sont pas du tout clair, et qui obligent le lecteur à s'arrêter pour penser ce qu'a dû vouloir dire l'auteur. De la même manière, les petites fautes (même si je ne les relève que lorsqu'elles sont trop nombreuses), n'aident en rien la compréhension. À la moitié de la lecture, disons que c'est assez gênant. Une dernière pour qu'on ne pense pas que j'extrapole sur trois miséreux cas : « C'était à croire si le village s'était partagé en plusieurs parties » : non ! c'était à croire + que. Enfin, une petite répétition qui montre bien l'utilité d'une relecture : « Ce dernier pensa que le Yondaime avait décidé de l'exécuter alors il accepta de rejoindre Tsurugi. Ce dernier maintenant le silence tout le long du voyage ». Tu remarqueras également les autres sortes de fautes et de maladresses dans les différents exemples, et que je ne fustige pas.

Je relèverais d'autres maladresses, mais cette fois d'images et d'expression comme « simple sans aller dans le complexe » (première ligne du physique). De même, attention à l'usage maladroit de certains mots : « Il ressentait la peur pour la première fois mais le soutien fratricide de Gentaro l'évacua des frissons » ; fratricide signifie « ayant tué son frère ». Je me doute bien que tu as confondu avec « fraternel », mais c'est un exemple qui réapparaît peut-être une dizaine de fois ! Sinon, l'avant-dernier paragraphe du mental relève d'avantage de la narration que de la description. Il n'apporte rien sur la psychologie de Saitõ. Il semble là pour remplir des lignes et prétendre légitimement à l'obtention du rang maximal.

Sinon : « Ce dernier fut d'un véritable soutient et un véritable exemple pour le cadet qui put nourrir déjà une véritable affection pour Gentaro » ; il faut absolument enrichir le lexique ! J'ai pris cette phrase parce qu'elle est la plus emblématique, mais le terme « véritable » revient absolument partout. En linguistique, « véritable » est l'adjectif qu'on utilise par fainéantise, lorsqu'on ne trouve pas le qualificatif précis qui épouse au mieux notre idée. C'est comme si tu n'avais pas envie de nuancer ton personnage. Là, tu ne nous transmets rien ; tu es le seul à savoir ce que les différents « véritable » de ta présentation signifient, étant l'auteur. De toute façon, c'est un mot beaucoup trop abstrait pour être valable dans une description ou dans une narration précise. Je lui consacre autant de lignes parce que le mot revient souvent, très souvent ; trop même. J'espère que tu trouveras d'autres termes lors de la correction.

Quant à la description en elle-même, je trouve dommage que quelques idées soient répétées sans cesse et que tu n'en développes pas d'autres, ou ne les nuances et les précises : son sérieux, sa noblesse et son indifférence reviennent peut-être deux à trois fois dans le physique, et nous n'avons donc pas la sensation d'approfondir une description, mais de la redire sous des angles nouveaux. Le pire, c'est que ces éléments reviennent dans le mental ; dès les premières lignes, le sérieux du personnage apparaît. En bref, mis-à-part ces quatre qualificatifs, je saurais incapable de dire la personnalité de Saitõ.

Mais plus globalement, j'apprécie l'architecture de ta description physique. Tu décris la totalité du personnage, son comportement, son vêtement et son corps sans plan thématique. Il n'y a pas de séparation entre les trois parties du physique ; elles se suivent et se complètent, et cela était très agréable malgré les nombreuses gênes citées ci-dessus. Quant à l'allure du personnage, je l'ai trouvé très emblématique de ninjas d'élites de Kiri. Je l'aurais bien vu avec Aô par exemple. Ils ont la même froideur dans le travail, une réserve semblable, la même discipline et une attention permanente mais reculée sur les choses qui les entourent.

L'histoire m'a donc intéressé et déçu ; en cela que l'écriture ayant toujours la même syntaxe et la même négligence sur les formes grammaticales ou sur l'emploi de mots malvenus, je l'ai découvert en picorant les parties les plus claires, et en délaissant celles qui l'étaient moins (heureusement, les passages difficiles à comprendre sont souvent sans intérêt, et restent rares ; ils sont importants dans ma mémoire uniquement parce qu'ils influencent beaucoup trop la lecture). Néanmoins, de nombreux éléments purement biographiques sont à revoir, notamment avec Meï. Elle n'a pas été prévenue des relations que tu lui as prêtées ; ainsi, vous n'avez pas pu être membres de la même équipe, étant donné que Meï a déjà passé un accord avec un autre joueur (Shin), et que par conséquent, Hajime Fuuka reste incognito pour elle. Il va falloir réintégrer ta coéquipière ailleurs dans ton passé. D'ailleurs, au bout d'un moment, on la perd de vue. Tu la mentionnes dans la prison, puis plus rien. Je suis revenu plusieurs fois sur la lecture pour vérifier que je n'avais rien loupé sur elle ; mais non. Elle disparaît. Assez troublant lorsqu'on remarque que vous partagez le même prénom, et que peut-être vous avez développé des liens particuliers ? À toi de voir si tu désires éliminer cet élément ou le compléter.

Autre exemple : « Mais Meï sut se tirer du lot lorsqu'elle se lia d'amour avec un autre homme : Ryõku Menshû », n'est plus valide ici. NNE n'est pas la suite de Touji et Meï a réinventé son passé, même si sa présentation ne nous le donne pas. Ici, l'hideuse Terumi n'a pas connu d'amants depuis son adolescence. Bien sûr, c'est un point beaucoup moins grave que de ne pas prévenir la joueuse sur les relations de Saitõ et de la Mizukage ; mais c'est à changer tout de même.

Les conséquences du coup d’État sont, selon moi, assez douteuses... Yagura ? Envoyer des opposants en prison, en plus dans une prison internationale qu'il n'a pas sous son influence et qu'il ne contrôle pas ? Mouais. Zabuza a dû fuir après l'échec de votre parti pour ne pas être exécuté. Tous les autres ont été massacrés. Pourquoi pas toi ? Tu ne cherches d'ailleurs pas à nous donner une explication valable ; tu ne veux pas nous convaincre ou expliquer le choix de Yagura. Je doute très sincèrement que le prédécesseur de Meï pût être aussi laxiste avec des hommes qui voulurent sa tête. Meï également n'est pas d'accord. Si donc tu préfères t'enfuir plutôt que de terminer en prison, je n'y verrais aucun inconvénient ; mais pour l'instant, la partie sur ton internement n'est pas correcte pour la logique du manga.

Pour terminer sur mes reproches, un élément très important et que tu n'as pas compris dans notre intrigue : à l’exception de Tsunade et de quelques personnes dans le monde ninja, nul ne sait qu'Obito a survécu ! Les Kages désiraient sa tête, Tsunade leur a menti ; même l'ambassadeur du pays de l'Eau ne peut avoir d'avis sur ce dossier. D'ailleurs, je trouve étrange qu'en tant qu'ambassadeur du pays de l'Eau nommé par le Daimyo lui-même, tu n'aies participé en RIEN aux tractations diplomatiques dans le monde. Rien. Absent au Sommet (même si Meï s'y est rendue avec ses deux gardes seulement dans le manga, tu aurais pu dire que tu te trouvais ailleurs pour des négociations ou que sais-je). Mais là non. Le premier agent de la diplomatie de Kiri préfère mener des enquêtes plutôt que de signer des traités et défendre les intérêts de son village à l'étranger. On a l'impression que tu désires le rang d'ambassadeur pour le titre, le prestige et pour qu'on t'appelle « Votre Excellence ». Ta fonction ne t'apporte rien ! Tu ne la développes pas, on ne te voit pas assumer ta charge et montrer l'utilité politique de Saitõ. Pourtant, les temps qui précédèrent et qui suivirent la guerre ont placé les ambassadeurs à l'avant-garde du monde ninja ! Imagine : la première Alliance ! Il en a fallu de la diplomatie et des discussions de couloir pour y parvenir ! Mais non, tout cela semble balayé, tu as l'air de voyager nul part et de ne rencontrer personne ; tu restes un ninja avec un salaire plus gros, et les cinq pays se sont unis puis maintenus par eux-mêmes, comme des légos magiques, sans la mobilisation permanente de leurs diplomates.

Les nombreux points négatifs que j'ai soulevés donnent à tord l'impression que je n'ai pas aimé ta présentation ; mais je le redis ici : je trouve le personnage très original, cohérent malgré les points biographiques à modifier, et attachant. Par exemple, le deuxième paragraphe de ton histoire sur les ambitions d'enfant de Saitõ était à mon avis d'une grande justesse, et très touchant aussi ; on dirait un petit Naruto de Kiri ! En tout cas, tu as bien rendu ce que penseraient des petits ninjas s'ils existaient. Mettre en valeur cet angle de l'enfance d'un shinobi était original, neuf et apaisant. J'ai aussi beaucoup aimé l'opposition des frères, l'un choisissant les valeurs anciennes de son village, et l'autre l’État nouveau de son Mizukage (mais aussi sa carrière ?) ; en revanche, pareil que pour ta malheureuse coéquipière fantôme, vous vous séparez suite au coup d’État, puis vous vous retrouvez à la guerre, sans réconciliation ni rien. Meï ne l'a même pas réprimé. Dommage, c'était là l'occasion de montrer la première politique de Meï à travers le prisme familial de ton personnage ! L'idée de nous montrer Kiri à travers des rivalités et des relations était excellente, mais incomplete ici (je suis peut-être trop gourmand, je l'avoue, mais je ne peux m'empêcher de poser des questions sur des ninjas aussi bien faits que le tien).

Malgré tout, il y a beaucoup trop de maladresses syntaxiques, d'abus grammaticaux et de non-sens sur la précision de certains mots pour que j'accorde le rang S. Avis mitigé. Je serais plutôt pour t'orienter vers un rang A ; mais puisque tu vas corriger ta présentation, que tu vas bien la relire, et que tu vas modifier les éléments de ton histoire, si tout cela est fait correctement, je n'aurais aucun souci à te laisser le rang S. Voilà pour moi !


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MessageSujet: Re: HAJIME • aiiro hidora. (100%) HAJIME • aiiro hidora. (100%) EmptyLun 23 Juin - 0:09

Tu as précisé ton rôle d'ambassadeur comme demandé (le lien que tu as maintenu avec le Pays du Fer est d'ailleurs intéressant, qui sait, pour la suite de ton personnage ?) et as effectué les corrections demandées. Excellente présentation ! Validé juunin rang S de Kiri.

Félicitations ! #5


Tu es l'un(e) de nos premiers membres validés ! Et par conséquent, l'administration de NNE va te récompenser. À Konoha, une vieille dame hideuse et recouverte de verrues tient depuis plusieurs années maintenant une loterie. Les membres peuvent y parier de l'argent, mais aussi acheter des tickets pour la tombola. Ayant validé ta présentation, tu gagnes un ticket d'or qui te permettra de jouer lors de la prochaine session, et, qui sait ? de gagner un avantage dès le début de ton parcours !




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