Dans un bouquet, il y a toujours une fleur fanée.. [End]

« Aucun de nous ne correspond jamais aux apparences... »

Carte d'identité

× Nom(s) : Yamanaka
× Prénom(s) : Maeda
× Surnom(s) : //

× Âge : 18 ans
× Sexe : Masculin

× Situation (marié/célibataire/etc): Célibataire

× Village d'origine : Konoha
× Grade : Chuunin
× Rang : B

× Spécialité(s) : Senseur - Hijutsu du clan Yamanaka
× Affinité(s) : Suiton
× Nom de l'avatar - manga de provenance : Un OC du manga Naruto

Description physique

Naturellement doté du divin critère de beauté propre à tous ceux de son clan, Maeda est un jeune shinobi ayant actuellement 17 printemps à son actif. Bien qu'à première vu nous aurions tendance à dire qu'il se trimbale un corps malingre et chétif cela n'en reste néanmoins qu'une apparence. Car sous ces tissus lui servant de vêtements se cache une musculature robuste sans pour autant l'être à l'extrême, doté de muscles graciles et nerveux ne le dispensant donc pas d'une certaine agilité. Agilité nécessaire dans le cadre de certaines missions comme celle d'une infiltration ou même d'une filature par exemple.

Ni trop imposant, ni doté d'un poids excessif, ni trop petit ou bien maigre, il est proportionnel en tout point des pieds à la tête et ne souffre d'aucunes irrégularités physiques que ce soit. Aucune blessure ni aucune marque, fruit de sévices corporels qui impliquerait une cicatrice à vie. Mesurant 6 pieds de haut pour un poids modeste d'une soixantaine de kilos. Notre shinobi de Konoha attache une certaine importance à tout ce qui touche plus ou moins de près ou de loin à la postérité et celle-ci semble curieusement attacher une certaine importance à son physique. Sans trop exagérer, il aime soigner son image et se rendre présentable aux yeux d'autrui. Mais il peut lui arriver d'y consacrer plus de temps que nécessaire, peut être parfois trop. Notamment lorsqu'une jolie demoiselle se trouve dans sa ligne de mire. Son visage à la peau lisse est majoritairement assez pâle bien qu'une fine pellicule mate due au bronzage puisse être remarquée. Son visage élancé révèle harmonieusement les traits fins dont il semble être pourvu : ses yeux expressifs et légèrement enfoncés en forme d'amande teintés d'une couleur violette assez aguicheuse lui confèrent un regard expressif et franc. Une paire de sourcils fins, blonds et arqués orne le parti bas de son front. Son visage est également doté d'un petit nez aquilin loin d'être exubérant et sujet à de basses moqueries. Sa fine bouche abrite une mâchoire plutôt carrée et sous celle-ci un menton discret, légèrement pointu composé d'une fossette. Le haut de sa tête est surplombé par une chevelure blond plutôt sombre lui tombant jusqu'au niveau de la nuque dans une posture désinvolte tendant à accroître par cet aspect un côté « mauvais garçon». Et le fait même de ne pas se coiffer accentue cet effet.

Concernant son style vestimentaire, celui-ci diffère bien de la tenue d'un chunin lambda. Il ne revêt qu'occasionnellement le gilet de combat, le réservant pour des occasions plus « honorables ». Une grande partie du temps, il porte un haut de tissu noir sans manche doté d'un col roulé et une veste bordeaux n'étant pas sans rappeler celle que portait son défunt oncle Inoichi avant la Grande Guerre. Celle de Maeda est nettement moins grande se termine à peine au niveau de sa taille.

Il porte un pantalon aux coutures semblables à celles de ceux des pantalons de juunins ou des plus hauts gradés. Quant à la couleur et aux matériaux utilisés, ils sont également différents. Le sien, gris clair, légèrement moulant, épouse parfaitement la forme et la longueur de ses jambes. Nous pouvons également remarquer que deux sangles couleur bordeaux lui parcourent la largeur de ses cuisses. Celles-ci sont réglables et lui permettent un meilleur maintien et équilibre. En fonction des situations il pourra aussi bien les desserrer que les resserrer. Comme tout shinobi qui se respecte, il porte également une paire de sandales ninja de couleur noir

concernant son outillage on peut apercevoir qu'il porte un harnais auquel et accroché le fourreau de son arme. Plus court qu'un katana bien qu'aussi meurtrier, équivalent à une dague ou un poignard, ne souffrant pas d'un poids démesuré et très facilement manipulable : j'ai nommé le tanto. Arme extrêmement pratique qui fait ou a fait la fortune d'énormément de shinobis.

On peut également noter qu'il porte à chacun de ses bras et avant-bras des bracelets en cuirs reliés entre eux par des bandes bleues. Leur utilisation n'est pas démontrée (toutefois, si tant est qu'il y en est une, car cela ressemble plus à des pièces décoratives qu'autre chose)

Et bien évidemment, nous n’oublierons pas le bandeau shinobi, qu'il exhibe fièrement de son front, mais que par moment nous avons du mal à distinguer à cause de son épaisse tignasse.

Description psychologique

Maeda est quelqu'un de particulièrement sociable et communicatif qui n'hésite pas une seule seconde à aider quelqu'un dans le besoin, même si cela le condamne sur ses horaires d'entraînements et le met au-devant des remontrances et des réflexions parfois sévères de son chef. Il a appris à vivre ainsi et s'y accommode parfaitement au point de ne plus tenir compte des remarques désobligeantes formulées à son égard. Pour lui, être shinobi passe d'abord dans le confort et la solidarité que l'ont peut apporter à ceux dans le besoin, et c'est pour cette raison qu'il se passerait volontiers des missions que l'ont lui confit pour aider les habitants de son village. Mais il ne se leurre pas, il sait bien que de la réussite de ces missions découle le bien-être de chacun.

Cependant, il apprécie aussi l'intimité, au point de se mettre assez rapidement en colère contre celui qui interférera dans son moment de quiétude tant recherché. Loin d'être trop solitaire, il aime se donner en spectacle et séduire par son sens de l'humour. Bien que celui-ci puisse être grotesque, les filles qui l'admirent ne le font guère moins par intérêt pour cela, mais plutôt pour son physique. Et notre Yamanaka sait tirer parti de ce genre de situation et en récolte assez souvent les bénéfices, pour ne pas dire « en abuse », et ce sont ces traits qui témoignent le mieux du genre de personne qu'il est : rusé et subtil, sachant profiter au mieux des opportunités qui s'offrent à lui, mais aussi lorsqu'elles lui sont avantageuses..

C'est également un garçon détenant une éloquence surprenante et déroutante pour son jeune âge. Il trouve réponse à tout et comme il se plaît à le dire lorsqu'il doit rendre des comptes, quand la vérité à triomphé « Toutes les portes ont besoin de clés pour être ouvertes, mais parfois il y a des passepasses pour les ouvrir.»

Shinobi fort de sa condition puisque appartenant à un clan prestigieux de Konoha, il aime plaire et se sentir aimé, car au plus profond de lui il cache une blessure qui encore aujourd'hui a du mal à se refermer. En effet il a longtemps souffert du manque d'amour de ses parents, toujours endeuillés par le destin funeste de leur fils, obligé de rejoindre la Racine. Se mettre sur le devant des projecteurs est pour lui un moyen de se faire connaître. Qu'on parle de lui, qu'on l'apprécie. En tant que shinobi, être sur tous les fronts est impossible, mais notre jeune Yamanaka est quelqu'un d’opiniâtre, ce qui transcende énormément avec la généralité du caractère de son clan.

Majoritairement autodidacte dans ce qu'il entreprend de nouveau, il ne fait en sorte de courber l'échine sous aucun prétexte. Son maître mot est « réussite», l’échec n'est nullement envisageable, car la réussite est le seul motif qui lui conduirait à être reconnue.

En amour, c'est quelqu'un de tendre est sensuel (même si malgré son jeune âge on ne peut pas parler d' amour durable, plus de relations d'un jour). En effet, il ne se déplaît pas de quelques compagnies féminines que ce soit, ce qui constitue un léger souci au fur et à mesure de ses conquêtes, surtout lorsque la précédente se rend compte qu'il la trompe.. Notons également à ce sujet que cela la conduit à devenir légèrement sexiste sur les bords et dissimule ses remarques en feignant sa sincérité, en les comparants. « Les femmes fonctionnent un peu comme des sortes d'animaux, elles sont vives, elle s'emportent mais oublient aussitôt, un chien battu pardonne parce qu’au fond il est gentil »

Il est assez contradictoire de noter qu'il est régi par des influences opposées, contraires. Tantôt il peut paraître déconcertant, s'en amuser et ne pas s'en cacher, passant par des phases où il s'incline à la facilité. Tantôt il ne détestera pas se frotter aux difficultés de la vie, où il se révélera capable de faire des efforts prodigieux et faire preuve de sérieux et d'autodiscipline. En somme, un jour, la vie peut se révéler être un jeu ou il fait une trêve avec ce qui le perturbe au quotidien et un autre, la vie apparaîtra comme quelque chose de sérieux sur lequel il ne faudrait pas plaisanter.

Il sait être opportuniste, décisif et consciencieux dans ce qu'il entreprend. Cependant, il évitera de s'aventurer sur un terrain non conquis où l'enjeu du risque à encourir est trop grand. Oui, donc légèrement couard sur les bords, mais quand il est question de survie tout le monde est plus ou moins dans le même cas

Sensible à ce qui pourrait arriver à ses amis, il n'hésiterait pas à se jeter au-devant du danger pour eux, même si le rôle d'un Yamanaka est de rester en soutien. Ses émotions le conduisent donc parfois à agir sans réfléchir, mais ça demeure quand même assez rare.

•Pour conclure nous dirons que Maeda est:
- Une personne affective, très proche de ses amis et qui n'hésiterait pas à mettre sa vie en jeu pour eux.
-Souffrant d'un manque d'amour et de reconnaissance, il n'hésite pas à se mettre sur le devant des projecteurs et faire le plaisantin pour épater la galerie. Mais toujours d'une manière sophistiquée.
-C'est quelqu'un d'honnête. Mais il peut aussi faire preuve de duperie est de mensonge pour s'en sortir. Donc quelque peu menteur également
-Minutieux et combatif, il n'abandonne jamais en combat, hormis lorsqu'il se rend compte que la situation est vraiment désespérée, légèrement couard.
- Opportuniste, il se jetterait sur moindre occasion qui pourrait lui être bénéfique, autant en combat qu'en dehors. Cependant le fait qu'il soit émotif peut le mettre rapidement en danger et le conduire, lui ou ses amis, à une mort certaine.

Histoire

On ne choisit pas ses parents et encore moins l'ordre dans lequel nous naissons. Maeda naquit au sein du clan Yamanaka, une quelques années après son frère aîné. Bien que la vie en avait décidé autrement pour celui-ci. Danzo Shimura de la Racine avait vu juste en l'extirpant à sa famille d'origine. Pour son jeune âge, Fû, le grand frère de Maeda, détenait déjà une maturité et une intelligence à en faire pâlir plus d'un. Et ce potentiel était loin d'être passé inaperçu pour le chef belliqueux de l'Anbu-NE. Lorsque Fû quitta le foyer familial, les parents de Maeda mirent énormément de temps à faire leur deuil. Ils feintaient continuellement leur moral aux autres membres, leur faisant croire que ceci n'était plus que du passé et que tout allait pour le mieux dans le meilleur des mondes. Mais lorsqu'ils leur arrivaient d'apercevoir leur fils, leurs cœurs saignaient à nouveau. Il était transformé, et sa détermination envers Danzô, inébranlable. Ils n'avaient pas besoin d'utiliser leurs jutsus pour le savoir. Mais lorsqu'on est l'une des plus honorables familles du village caché des feuilles, on ne refuse pas une requête à l'administration du village, d'autant plus lorsqu'il s'agit de la protection de Konoha, du village caché des feuilles, ils avaient donné leur fils pour le meilleur et pour le pire désormais et rien ne pourrait changer..

La naissance de Maeda mit fin à l'interminable deuil de ses parents. Mais ceux-ci étaient étrangement plutôt distants de leur enfant. On pouvait lire dans leurs yeux, la peur. La peur de s'attacher de nouveau à quelque chose. Quelque chose qu'ils pourraient perdre à nouveau sans qu'ils ne puissent rien y faire. Mais dans le cas présent, ce n'était pas une chose, c'était leur fils. Oh bien sûr durant son enfance il n'était pas à plaindre. Il ne souffrit de rien, et s'éveilla assez rapidement aux pouvoirs psychiques de son clan en s’entraînant de manière assidue avec son père. Mais à côté de ça, celui-ci tout comme sa mère, ne lui apportaient pas l'amour auquel un jeune bambin à besoin à cet âge, pour gagner en maturité et en reconnaissance. Mais aussi pour le mettre en confiance et en sécurité. Il ne comprenait pas.. et il n'y a rien de pire que de ne pas avoir de réponse à ses questions lorsqu'on est jeune. Même son oncle Inoichi, dont sa franchise est l'une des armes les plus réputée au sein du village, détournait ses questions par d'autres propos ou ne cessait de lui répéter qu'ils l'aimaient, mais qu'ils étaient très occupés pour le lui en témoigner. Mais le jeunot n'était pas dupe et interprétait tout autrement ce que lui disait son oncle. La lueur dans son regard à chaque fois qu'il remettait sur la table ce sujet était la même. Et elle ne trompait pas. Il feintait de croire chaque nouvelle excuse que celui-ci lui présentait.. le sujet de discussion fut balayé assez rapidement en laissant place à bien d'autres sujets plus passionnants. Au final, il passait la plus grande partie de son temps au côté de son oncle Inoichi, lorsque celui-ci n'était pas au centre des interrogatoires ou à la boutique bien évidemment.

Il arrivait très souvent qu'il s'entraîne aux côtés de sa cousine Ino et de son oncle durant des journées entières ou pendant des escapades en famille avec les deux frères clans que sont les Akimichi et les Nara. Mais ce n'était pas facile pour lui car si ce n'est d'en avoir entendu parler il n'avait jamais vu les vraies compétences de ces clans à l'épreuve, car il n'était pas né une année ou les deux autres clans lui avaient offert des rejetons comme futurs coéquipiers. Il ne serait pas membre d'un trio Nara-Yamanaka-Akimichi.

Rien ne semblait aller avec le temps. Ses parents auraient aimé qu'il s'illustre d'une manière quelconque au sein du village et qu'il fasse partie d'un trio avec ces clans. Ils n'excluaient aucune pensé négative. Ils partaient défaitistes sur tout ce qui touchait de près ou de loin à l'avenir de leur fils. Mais lui ne baissait pas les bras et semblait plutôt du genre combatif. Il était exigent avec lui-même, étudiait autant que faire ce peu pour avoir des résultats plus que corrects. L'examen des genins approchait à grands pas. Une façon de prouver sa valeur et montrer à ses parents qu'ils pouvaient être fière de lui. Eux qui ne lui prêtaient pas une attention particulière finirent petit à petit à l'approche dudit examen, à donner crédit à ses dires. Il ne maîtrisait pas à la perfection le shintenshin no jutsu mais à son âge c'était tout de même très louable . L'examen pour devenir Genin, il n'aurait aucun problème à l'accomplir et par ce biais il sustenterait le désir de reconnaissance de ses parents et à ce qu'il honore leur nom. Le jour de l'épreuve arrivait enfin. Iruka avait beau être intimident, Maeda ne courba sous aucun prétexte l'échine bien qu'avec la pression il faillit commettre un impair qui lui aurait coûté son titre de genin et son bandeau frontal. Mais il réussit l'examen haut la main et le jeune Yamanaka, depuis longtemps, reçut de la considération de la part de ses parents, celle tant attendue. La première fois fut lors de sa maîtrise du shintenshin. Mais il savait qu'il faudrait très peu de temps à cette flamme avant de s'éteindre. Il ne devait pas s'arrêtait là. Pour lui c'était une nouvelle ère qui s'ouvrait, un nouveau sentier à emprunter. Quelques jours plus tard, on lui attribua une équipe. Des ninjas aux noms sans grande prétention. Un particulièrement déphasé voulant tout le temps taper sur tout ce qui bouge et un autre, entièrement son opposé. Quant au sensei c'était un Juunin. À la grande stupéfaction de Maeda, un membre de son clan. Il n'y avait que peu de shinobis de son clan ayant endossé le rôle de ninja instructeur.

Ce n'était pas une première, mais ce n’en était pas loin. Avoir un membre de son clan comme chef d'équipe, voilà qui ravissait le moral du rejeton Yamanaka qui s'était soudainement senti abandonné en ayant découvert qui étaient ses coéquipiers. Il pourrait faire gagner son shintenshin en maturité. C'était une évidence. La présence de ce dernier l'aiderait à développer son don de sensorialité, extrêmement précieux dans une équipe de shinobis. Hormis les caractères très opposés de ses compagnons de fortune, l'ambiance dans cette équipe ne semblait pas plus à plaindre que dans d'autres équipes. À vrai dire, ils finirent tous -plus ou moins- à faire preuve d'autodiscipline. Mais il arrivait parfois au sensei de se pointer avec ses dons psychiques pour calmer le jeu. Généralement en un temps record. Bref, le quotidien de tout shinobi qui se respecte tendait ses mains, ils ne leur manquaient plus qu'à le saisir..

Après quelques mises au point et discussions sur la configuration de chacun dans l'équipe, ils se mirent à exécuter les missions qu'ont leur attribuaient sans rechigner. Les moins palpitantes avaient le beau rôle, mais il fallait quand même les faire. Tout le monde sait que le genin exécute les basses besognes justement pour montrer l'étendue de ses capacités et ce qui peut en être exploité par le village par la suite. Quoi qu'il en soit, le pourcentage de réussite des missions de l'équipe de Maeda se révélait être plutôt concluant. La réconciliation entre ses deux compagnons avait marqué un tournant avantageux dans les gains et la réussite. Les pouvoirs de Maeda avaient prouvé leur efficacité sur le terrain. Le jeune Yamanaka s'épanouissait dans ce nouveau cadre de vie et son pouvoir ne cessait de fleurir. Ses parents lui manifestaient plus d'attention et lui consacraient plus de temps lorsqu'il n'était pas en mission. Ce petit pas était un gain de reconnaissance. Il utilisait également son temps libre pour expérimenter ses jutsus psychiques avec son sensei, qu'il savait dans l'équipe pas par simple « hasard ». Mais bon, il n'allait pas s'en plaindre, ses parents lui portaient une attention continuelle par ce biais. Mais son temps libre, lorsqu'il ne l'utilisait pas pour s'entraîner, il l'utilisait pour flâner dans les ruelles tortueuses de Konoha, discuter avec les gens, faire la cour à de jolies ravissantes jeunes filles ou encore faire des salles coups avec son shintenshin. Son champ d'action était large et s'élargissait avec le temps tout comme son cercle de connaissances et d'amis. Bref, la belle vie.. Avant l'examen Chuunin qui aurait lieu dans quelques mois. On ne pouvait pas lui reprocher de passer du bon temps, car le jour J aurait son lot de stress. Il se rassurait en se disant que ce diplôme serait aussi expéditif que l'obtention du titre de genin. Cette conviction voilée, ses camarades l'a partageaient avec lui. À l'approche de cet examen, ses parents furent plus qu'a leur habitude proche de leur fils. L'obtention du titre de chunin serait un tremplin pour le jeune Maeda dans le monde des ninjas.

L'examen arrivait enfin, la tension était à son comble. Le chef de l'équipe avait recommandé ses trois élèves sans exception. Il avait confiance en leur talent. Bien que cette confiance résidait majoritairement dans les capacités de Maeda. Les trois compagnons ne demeuraient pas énormément complémentaires sur le plan technique, mais ils avaient cette faculté commune de pouvoir faire abstraction des choses qui les entourent pour ne se concentrer que sur l'essentiel et travailler de façon coordonnée. À défaut de posséder une « réelle » force de frappe, ils avaient l'intelligence. Une force tactique. Une clé qui peut parfois ouvrir toutes les portes sans que l'on ait réellement besoin de l'outil en question. La première partie de l'examen pour devenir genin fut l'épreuve écrite. Celle-ci fut très tendue, Ibiki Morino énormément déstabilisant. Le jeune Yamanaka fit preuve d'un extrême sang-froid durant toute cette première partie. La sueur qui dégoulinait de son front se délectait d'une aisance sans nom de son stress. La peur d'échouer et de rester Genin à vie se faisait sentir. Mais au final, son équipe avait réussi cette épreuve. L'épreuve qui suivait en comporterait davantage. Mais il ne pouvait pas faire demi-tour, pas maintenant. Et ce sont les coudes serrés qu'ils se rendirent à l'entrée de la forêt de la mort. Les équipes encore en compétition n'étaient pas en nombre, mais parmi celles qui demeuraient, une seule attirait l'attention du jeune Yamanaka. L'équipe d'Aburame Kishomaru. Maeda ne portait pas vraiment les membres de ce clan dans son cœur. À vrai dire, il en avait plutôt peur. Leur style vestimentaire clanique et archaïque, le fait que leurs humeurs soient indiscernables et surtout le fait de ne pas savoir s'ils vous toisent du regard ou nom derrière leurs lunettes noires.. s'ils étaient amenés à le croiser dans cette vaste forêt dangereuse avec son équipe, il opterait certainement pour la fuite. Mais après il demandait à être dans cette situation pour voir COMMENT il réagirait vraiment devant le fait accompli.

Bref, une fois devant l'entrée de la forêt interdite, le groupe fut en contemplation devant le spectacle sensuel de bienvenue de la Juunin Mitarashi Anko. Ce qui était bien sûr ironique. Elle inspirait plutôt de la crainte voire même de la honte au jeune Yamanaka. Avec un titre comme le sien on se comporte plus dignement, et non de cette façon. Parenthèse fermée, après une plus ou moins longue série d'explications, Maeda et son groupe connaissaient les attentes des instructeurs et leurs objectifs à atteindre. Après le signal de départ, ils furent les derniers à s'engouffrer dans cette vaste forêt. Ravalant sa fierté de chef d'équipe, déglutinant sa salive et prenant par la suite une bonne bouffée d'air il emboîta le pas à ses camarades. Les bestioles qui traînaient dans les environs étaient assez impressionnantes et à plusieurs reprises ils prirent leurs jambes à leurs cous. Tout en prenant soin de rester à une distance convenable des autres équipes, ils s'avançaient vers le centre de la forêt non sans une certaine boule au ventre. Ils profiteraient de la nuit pour s'emparer d'un autre parchemin d'autant plus qu'ils avaient déjà réfléchi à la manière de savoir comment s'y prendre. La nuit venue, le shintenshin de Maeda fut une arme imparable et d'une efficacité redoutable. Et c'est dans un ultime élan et une inflexible détermination qu'ils atteignirent le lendemain, le point de rassemblement. Ils étaient plutôt fiers et avaient eu une chance inouïe de ne rencontrer aucun obstacle qui aurait compromis leur avancée.

Le prochain obstacle à franchir pour l'équipe du Yamanaka exigeait une énorme dose de courage et de sang froid. Les duels shinobi en singulier étaient loin d'être leur fort. Encore moins pour Maeda. Certes il avait quelques notions de taijutsu mais ça s'arrêtait là. Son shintenshin n'amènerait probablement rien de bien concret dans un duel comme ça. Ses dons de senseur l'aideraient tout au plus à esquiver quelques techniques. La tâche serait d'autant plus ardue pour le jeune Yamanaka que son adversaire se trouvait être l'un de ses camarades. Il eut de l'appréhension. Il n'avait jamais affronté dans le cadre d'une compétition officielle l'un de ses amis. Il était peiné, mais ne pouvait se résoudre à laisser sa chance de devenir Chunin lui échapper. C'était même inconcevable. Lorsque ce fut à son tour de combattre, il pénétra dans l'enceinte de l'arène, sereinement. On pouvait lire toute sa détermination dans son regard avant que celui-ci ne se relâche, laissant transparaître un rictus amusé. Avec un stratagème bien monté, il ficela la motricité de son adversaire en le cantonnant à s'asseoir à en tailleur. Tout comme Maeda également. C'était un code qu'ils avaient établi entre eux. En s'asseyant de cette manière, ils faisaient une trêve. Cela servait à atténuer les conflits notamment. Mais Maeda se servirait de ce subterfuge pour l'acculer. En jouant la compassion et la ruse, il se condamnait sans doute à perdre son amitié et sur le moment cette pensée l'avait harcelé pendant plusieurs minutes. Mais il était résolument dans l'optique de devenir Chunin et pour ça il ferait tout ce qu'il pourrait. Sa cible immobile, il exécuta son shintenshin. Son opposant n'eut pas le temps d'être surpris que son corps fût déjà entre les mains du Yamanaka. Le faisant se relever lentement il commença à se diriger pas à pas puis accélérant petit à petit vers le mur de l'enceinte. Il rompit la liaison au moment ou il fit fracasser le crâne de son ami contre le mur dans le but de l’assommer. Cette opportunité empreinte de cruauté fit élever dans les airs un râle général des spectateurs. Lorsqu'il revint à lui aussitôt après le kaï, voyant son camarade à terre et la tête en sang, en train de bouger lentement les bras et les jambes, Maeda se rua vers lui, encore comateux et lui asséna une droite qui finit par l'assommer définitivement et lui assura la victoire. Aucun applaudissement et aucun bruit dans les tribunes. Le sensei de Maeda le dévisagea puis salua à contrecœur la victoire de son élève. Ce fut une situation pas comme les autres et le jeune Yamanaka fut amené à faire ce qu'il estimait de plus juste. D'un certain point de vue c'était une belle victoire. Mais d'un autre côté, victoire entachée par la traîtrise et le mensonge. À la suite de ça, il reçut son titre de chunin. Mais perdit une amitié profonde et sincère. Il ne se félicitait pas de cette façon d'avoir procédé, mais il était enfin Chunin. Peu de temps après l'examen chunin, le potentiel du Yamanaka fut très vite exploité au sein de la section des tortures et des interrogatoires. Ses parents furent admiratifs de son parcours, mais ça en restait là.

La vie offrait son lot de surprises et de souffrances. Le travail à la section n'était pas des plus commodes, mais il ne s'en déplaisait pas. Il avait l’occasion d'exploiter au maximum ses compétences psychiques. Mais c'était la première fois qu'il les utilisaient sur de véritables ennemies. Son oncle Inoichi était là pour l'encadrer. Le travail qu'il accomplissait était remarquable même s'il avait encore beaucoup à apprendre. L'essentiel était cependant acquis. Il réussit par l'intermédiaire de son travail à canaliser ses émotions et ne pas éprouver de sentiments qui mettraient en péril ses travaux et ceux de la section.

L'attaque coordonnée d'Orochimaru et du pays de Suna avait coûté la vie de celui que l'on surnommait « le professeur » ou encore le dieu des shinobis. Hiruzen Sarutobi avait sacrifié sa vie pour garantir l'intégrité de la feuille. Tout comme des centaines de shinobis du village. Maeda faillit d'ailleurs perdre la sienne durant ce conflit. Se trouvant dans les sous-sols de la section des interrogatoires et des tortures au moment de l'imminent assaut, il dut faire face avec ses compagnons à l'irruption d'un serpent géant dans les locaux, ravageant tout sur son passage. L'espace était trop étroit et leur capacité de mouvement trop restreinte pour tenter de fuir. C'est alors que le jeune Yamanaka, poussé par une inextinguible volonté de survie usa de son shintenshin pour prendre possession du serpent. Aussi surprenant que cela puisse paraître, l'audace dont il fit preuve permit à sa section de s'immiscer en dehors des locaux pour affronter ladite bête en terrain ouvert. Elle atteignait facilement les 10 mètres de haut, l'acculer ne serait pas chose aisée. Mais l'intervention du légendaire sannin Jiraiya mit fin à l'affrontement. Profitant de ce laps de temps pour reprendre ses forces, Maeda et son groupe se rendirent non sans difficulté au centre-ville, là ou le gros de la bataille se jouait. Après des heures de luttes, les forces de Konoha furent victorieuses. Mais il fallait déplorer nombre de victimes dont le Sandaime. Endeuillé par ce funeste dessein, le village de Konoha ne repris officiellement du service qu'au bout de quelques jours, tout comme le Yamanaka.

Tsunade hime fut élue Godaime Hokage, ce qui marqua un nouveau tournant pour le village caché des feuilles. Il ne connaissait pas trop cette personne, mais avait entendu dire qu'elle était d'une puissance redoutable. Il approuva donc son élection à ce poste et à la suite de cela, sa mission au sein de Konoha fut réévaluée et son travail au sein de la section diminua de moitié pour lui permettre de faire des missions à l'extérieur. Les techniques Yamanaka demeurant trop éphémères sur le terrain. Mais sans compter sur la difficulté des missions, il devait faire face à des alliés plutôt distants. Encore marqués par la sournoiserie de ce dernier pour gagner son match lors des examens Chuunin. Cette crainte de coopérer avec était légitime en soi, mais pas justifié. Car pour l'accomplissement d'une mission, la coopération se devait d'être totale. Cette pseudo-exclusion apporta son lot de conséquences et motiva plus que tout le Yamanaka à se racheter une conduite et une image.

Le temps passait et une nouvelle menace survint : Akatsuki. Ce groupuscule composé de ninjas plus dangereux les uns que les autres éleva les niveaux d'alertes au sein du village de Konoha. Priorité maximum donnée à la protection de l'unique Jinchuriki. Pendant ce temps-là un duo d'immortels fit irruption dans le pays du feu entraînant la mort de Chiriku, un moine du temple du pays du feu. A la suite de ces événements, Maeda fut assigné à une équipe dans le but de débusquer le dangereux duo. Il avait de l'appréhension, c'était des criminels de rang S et leur chance de survie s'ils ne disposaient pas de l’initiative, seraient extrêmement minces. Mais les ordres étaient les ordres et il était fier d’œuvrer pour la prospérité de son village. Cependant, ce fut l'équipe placée sous le commandement de Sarutobi Asuma qui fit les frais..

Peu de temps après l’exécution de ce duo d'immortels, le village caché des feuilles fut victime d'un assaut orchestré par le chef d'Akatsuki. La mission de Maeda, comme la majorité des shinobis disponibles, consistait à apporter un soutien permanent à la population civile. L'aidant à se retirer pour la mettre en lieu sûr. Jamais la crainte de perdre tout ce qu'il avait de plus cher ne l'avait touché comme ça auparavant. A la force de ses bras et à la sueur de son front, esquivant les débris qui virevoltaient dans tous les sens, il conduisit nombre de personnes à l’abri. Mais l'attaque du Pain manipulant à souhait la gravité scella son destin. Une pierre percuta de plein fouet la nuque du shinobi, l’assommant sur le coup. Mettant un terme à son implication dans ce combat..Les conséquences de cette furent désastreuses pour le village. Mais aussitôt remis sur pieds Maeda participa à sa reconstruction activement.

Quelques mois plus tard, après un pacte d'alliance signé entre les 5 grandes nations, Akatsuki déclara la guerre. Comme tout jeune shinobi, Maeda fut réquisitionné et placé dans la division du général Kakashi. Ses dons de senseurs seraient très précieux pour ce groupe amené à rencontrer les 7 épéistes de la brume. Réputé pour être la meilleure des générations d'épéistes qui ai existé. Maeda avait de l'appréhension, mais ne manquait pas de courage. L'éloquence du moral foudroyant de l'expert en taijutsu de Konoha le rassura un petit peu. Lors de l'affrontement, il dut faire face au manipulateur de Nuibari, la fameuse lame qui permet de coudre tout ce qu'elle transperce. La lutte n'était pas très équilibrée, car le taijutsu n'était pas spécialement le point fort du Yamanaka. Ses dons de senseurs lui permirent d'esquiver multiples lacérations et de riposter adroitement à l'aide d'un Kunaï. Mais face à des morts ressuscités et immortels qui plus est, il ne tiendrait pas longtemps. Agissant par surprise en profitant du léger moment de répit du jeune Yamanaka qui s'était assieds au pied d'un arbre. Une sensation glaciale parcourut le bas de sa poitrine. La lame de Kushimaru Kuriarare avait atteint sa cible, transperçant intégralement le tronc et le corps du shinobi. Haletant, sentant son souffle qui diminuait et ses paupières se faire lourdes, il sentait la vie le quitter. Mais l'intervention du général Kakashi et de son kamui l'épargnèrent. Maeda avait perdu son duel face à l'épéiste de la brume, mais pas la vie. L'arme légendaire avait sévèrement endommagé ses intestins et il perdit conscience peu de temps après l'intervention in extremis de l'homme aux sharingans. Le reste de la guerre fut bien trop flou et il ne participa pas à l'affrontement ultime. Il fut cantonné à une assistance médicale jusqu'à la fin de celle-ci..

Lorsque l'alliance fut proclamée victorieuse, un soupir de soulagement s'extirpa de la bouche de Maeda, toujours allongé sur son lit. Mais l'annonce de la mort de nombre de membres de son clan et de son oncle le conduisit à faire une dépression des jours après. La vie n'avait plus la même saveur. Des gens qu'il avait côtoyés dans sa jeunesse étaient morts. Ses parents avaient également perdu la vie. Un profond sentiment de haine et harcèlement du destin l'avait envahi. Il n'avait jamais pu prouver à ses parents à quel point ils pouvaient être dignes d'eux.Son frère était porté disparu, mais il n'avait pas grand espoir de le revoir un jour.. Il mit du temps à se remettre de tous ces événements. Mais le soutien psychologique qu'il reçut lui permit de faire le vide au fond de lui-même. Désormais, il est prêt à rendosser son rôle initial : à savoir être un shinobi de konoha

En Résumé

• Frère de Fû, ce dernier quitte le foyer familial pour rejoindre la Racine au grand désarroi de ses parents qui souffriront énormément du départ de celui-ci.
• Ne pouvant s'attacher au risque de le perdre également, les parents de Maeda auront du mal à lui témoigner de l'amour. Il souffrira énormément à cause de ça durant sa jeunesse, mais encore aujourd'hui.
• Débrouillard, mais souffrant d'un manque de reconnaissance et d'attention, il fera de l'obtention de son titre de Genin puis de Chunin des objets dont le but est de rendre sa famille fière
• Après l'obtention du grade de Chunin, il travaillera au sein de la section des interrogatoires au côté de son oncle Inoichi
• Il consacre son temps libre à flâner dans le village où a jouer les Dom Juan, attirer l'attention sur lui de façon à être connu.
• Il est blessé par l'épéiste de la brume ressuscité Kushimaru Kuriarare lors de la guerre contre l'Akatsuki et est contraint de quitter le champ de bataille.
• Au sortir de la guerre, le nombre de ses amis décédés l'entraîne dans une dépression dont il aura du mal à se sortir.
• Il perd également ses deux parents

Vous ?

× Prénom : (facultatif)
× Pseudo:
x Age: 20 printemps à mon actif
× Comment avez-vous connu le forum ?: Via Naruto vs Sasuke top 100
× Comment trouvez-vous le forum ?: Très réussi
× Pourquoi t'es-tu inscrit(e) ?: Renouer avec le rp Naruto avec lequel je m'étais un peu fâché et faire cette relance avec des amis
× Autres : « Odi Panem quid meliora »

Bienvenue à toi puisqu'il ne me semble pas t'avoir déjà vu sur la cb.

Déjà plus d'une semaine que ta fiche est postée sans d'avancements visibles. Je viens là seulement te demander où tu en es dans l'écriture de ta présentation. Souvent les rôlistes mettent leurs écrits sur un logiciel de traitement de texte alors peut-être est-ce aussi le cas pour toi ? Quoiqu'il en soit j'aimerais savoir si tu n'as pas de quelconque difficulté, si tu as besoin d'un délai pour X raison ?

Au plaisir de te savoir parmi nous o/

Je suis présent de ce côté là, pas de soucis mais en effet j'aurais dû te prévenir plus tôt, je m'en excuse.
Comme je l'ai expliqué sur la chatbox hier soir à ceux présents, reprendre le rp n'est pas une chose aisée et pas loin de 5 tentatives de création de personnage sont passées depuis que je suis sur ce forum.
Mais je n'étais convaincu par rien, aucun de mes écrits, aucun de mes personnages, aucune ambition ou motivation n'était au rendez-vous. C'était vraiment très dur. Comme une dépression sur l'univers rpg ? ^^
Mais depuis hier soir, je crois (et j'espère) avoir enfin trouvé chaussure à mon pied. Je me suis attelé à la description psychologique (qui est fini, et sur word o/). Le contenu entier de ma fiche devrait être disponible incessamment sous peu.
En m'excusant encore de mon retard

D'accord, il n'y a aucun soucis, je comprends tout à fait. Pour une question d'aide mémo pour le staff, je te donne officiellement deux semaines de délai à compter d'aujourd'hui. Ce parait grand mais on sait jamais.. Et si tu as besoin de plus, n'hésite pas à demander en m'envoyant un MP ^^.

Sur ce bon courage pour le reste, au plaisir de te lire !

J'annonce officiellement que ma fiche est terminée

petit up (un peu tôt moi aussi ? ^^)

Citation :: On vous demandera alors d'être subtile dans votre manière de vous exprimer et de formuler calmement vos demandes. Le double-post est donc interdit, pour la simple et bonne raison que cela crée du flood qui n'a pas lieu d'être. Nous percevons toutes vos demandes, et nous faisons de notre mieux pour y répondre au plus vite. Cependant, nous avons tous des occupations IRL - le staff n'est pas un robot -, donc il arrive que certaines choses arrivent un peu plus lentement que d'autres. Au lieu de poster une seconde fois pour relancer un topic, vous pouvez toujours envoyer un MP aux administrateurs ou aux modérateurs.

Pour non-respect du règlement, relatif aux double-posts, le Staff de Naruto New Era te donne un avertissement.
Pour plus de renseignements sur les sanctions, je t'invite à relire cette partie du règlement.

Quant à ta présentation, ne te fais pas de soucis, les correcteurs font leur possible. L'un d'eux serait passé. L'un d'eux va passer.

Note : il est inutile de répondre à ce message, le prochain sera celui du correcteur. Merci d'avance.

Comme tu le sais, la correctrice initialement chargée de ta présentation n'est plus parmi nous. Ce sera donc moi qui me chargera de ta correction. Cela te va ? Et en même temps, ce n'est pas comme si tu avais le choix ;D Ah oui, et c'est ma première correction sur NNE, chanceux que tu es :3
J'ai essayé d'être le plus constructif possible. Mais, nous ne sommes jamais à couvert d'élan émotionnel et d'erreurs.
Ceci est une version condensée et coupée (de 800 mots). Pour la version complète (dont conseils), fait-le moi savoir en Mp ;)
Sans plus attendre, voily voilou !

Débutons par le début, la description physique. Pourtant de bonne longueur, elle s'essoufle tout de même à la fin.
Dans l'ensemble, je ne retiens pas de détails qui sortent de l'ordinaire. Tu nous annonces qu'il serait commun et beau à la fois. Drôle de paradoxe. Les paradoxes, une pratique dont tu n'auras de cesse d'employer.
Dans ces deux premiers paragraphes, il n'y a aucune particularité physique. Ah ! si des yeux violets. Cela m'a fait pensé : j'ai lu quelque part que c'était le propre des Gary Stu (XD). Tu sais, ces personnages sans un défaut, au corps et à l'esprit parfait. J'ai été peiné d'en conclure que ton personnage avait tout pour en être un.
D'ailleurs, en abordant ce corps, je tiens à te révéler l'incohérence que j'ai pu remarquer (une salée surtout !). Il fait 1m82 pour 50 kilos. Tu appelles ça un poids modeste ? ... Imc = 15.1. Donc ce personnage souffre d'une grave dénutrition. Il est anorexique ! En dessous de 60-65 kilos, ça m'étonnerait qu'il existe un ninja de cet hauteur capable de se battre plus de cinq minute sans s'évanouir. Mais, j'aurais bien laissé passé cette bonne particularité (qui pourrait se révéler prometteuse scénaristiquement (un top model qui ne fait pas ses ongles, mais se bat)) si tu ne m'avais pas sorti le détail qui tue : avec un tel déficite de masse, c'est impossible d'avoir « une musculature robuste » :0
Mon conseil : modifie vite ce poids si tu ne veux pas mourir en allant vers les course ;)
Petit détail qu tue. Le nez : si il est sujet à des moqueries, pourquoi la description nous dit qu'il est beau. Se moquerait-on d'un nez car il est petit et droit ? La réalité est plutôt contre toi pour le coup... On se moque des nez en trompette, des nez de bourrés, quoi que aussi des nez qui ont subit une chirurgie. C'est son cas ? Oo Essayer de placer un truc pas beau, on ne me la fait pas ;D

Concernant le mental, ... « Concernant son style vestimentaire » et « concernant son outillage ».
J'ai remarqué que tes phrases d'accroche de paragraphe manquent de punch. Même si par exemple, « La vie offrait son lot de surprises et de souffrances. » est une phrase typique de lancement. Bon, à moins d'être suivie d'une réelle surprise, il est plus simple de nous annoncer directement ce que tu veux dire, ou on alourdit tellement le texte. Qu'importe.
Toujours à propos de ce qui peut être lourd : je note une tendance à nuancer dans le "plus ou moins". Est-ce que ton personnage est indécis sur ce qu'il aime ? ou l'auteur n'aime-t-il pas trancher ? Autre exemple : « à devenir légèrement sexiste sur les bords » Légèrement et sur les bords noient le poisson. Il l'est ou il ne l'est pas finalement ? (bien sûr ce serait manichéen d'être aussi abrupte, mais lisse sur tous les sujets, j'ai juste l'impression que ton personnage n'est rien d'autre que le même autre fruit d'un arbre qu'on appelle stéréotype)

Bref, revenons au mental, ou plutôt allons-y !
En tout cas, de soucis de formulations aux minuscules maladresses dans cette partie qui pourtant accumulées pèsent bien trop lourd pour une lecture fluide et compréhensive. Cette mentalité m'a échauffé le cerveau. Au point de ne plus savoir qui il était vraiment.

Cette phrase résume tout : « Il est assez contradictoire de noter qu'il est régi par des influences opposées, contraires. » C'est bien ça tout le problème. L'homme est un être de contradction ! C'est ce qui fait la richesse possible dans les descriptions.
Quoi qu'il en soit, en espérant que tu sauras nous mettre au clair dans de futurs Rps, voici quelques remarques :

La vie privée, l'intimité, qu'il met semble inclure la solitude. Pourtant plus loin tu nous dit qu'il n'aime pas trop être seul et qu'il se met en colère quand on perturbe ses temps de repos. Si peu de self-contrôle ? « Le jeune Yamanaka fit preuve d'un extrême sang-froid ». Pourquoi il a n'a pas craqué alors qu'on le sait émotif ? Surtout que « Il réussit [seulement finalement] par l'intermédiaire de son travail à canaliser ses émotions »
Je reviens sur la question des opportunités. Tu nous dis un contraire, qu'il ne vas pas là où c'est trop dangereux. Courageux, mais pas téméraire ?
« s'ils étaient amenés à le croiser dans cette vaste forêt dangereuse avec son équipe, il opterait certainement pour la fuite. Mais après il demandait à être dans cette situation pour voir COMMENT il réagirait vraiment devant le fait accompli. » Il est certain de fuir, pourtant il veut voir comment il va réagir ? un couard aurait tout fait pour éviter de se retrouver confronté à son ennemi. Et en même temps, il aime le risque ...
D'accord, il tient à survivre ... alors pourquoi se lancerait-il à corps perdu pour sauver un proche ? Quand on a été élevé à la racine, on ne devient pas sentimental ... Oups !
J'ai bien crû dans ta description qu'il avait été utilisé par la racine, « le destin funeste de leur fils, obligé de rejoindre la Racine ». Avant de lire l'histoire, on n'a aucune idée qu'il existe un frère. Me semble pas que l'histoire est la première chose que lisent les valideurs. Attention :)
Son frère. D'ailleurs on en entend parlé au début, mais ça ne semble plus le tracasser de savoir où est son frère. On pense même qu'il s'en fou total et préfère aller draguer la gonzesse.
D'ailleurs en parlant de ça, je sais que Saï est orphelin. Je me demandais si justement la Racine de Danzô ne recrutait pas uniquement dans les insignifiants. Je suis bien troublé de voir qu'un clan aussi proche des Hiruzen (Sandaime) accepte par dépis de donner un de leur enfant à la branche secrète de la feuille. Tu auras donc le bénéfice du doute ...
« En somme, un jour, la vie peut se révéler être un jeu ou il fait une trêve avec ce qui le perturbe au quotidien et un autre, la vie apparaîtra comme quelque chose de sérieux sur lequel il ne faudrait pas plaisanter. »
J'ai bien compris ce que tu voulais dire, après relecture et relecture. Voilà ce que cela peut dire de lui : il met entre parenthèse les événements qui arrivent dans son quotidien pour pouvoir rire et jouer.

Autre chose, sa relation avec lui et ses parents n'est même pas explicité. On sait qu'il fait le mariole avec tout le monde et se joue des femmes, mais à part ça ... à part ça on ne découvre qu'à la fin qu'ils sont morts ! Ah ! Normal alors...
L'annonce de la mort des parents à la toute fin. Belle surprise, qui explique beaucoup de choses, mais qui n'enlève pas le sentiments de frustration qui a été crée ... :/
« une dépression des jours après. » Combien de temps exactement ? Trois-quatre ? Pour soigner une dépression (qui aurait plus lieu d'être un deuil) aussi forte, il faudrait au moins quelques mois. Surtout que ... il vient de perdre ses parents et son oncle, nom d'une bourrique. On ne se remet jamais de la perte de ses parents, surtout quand il y a traumatisme de guerre.

Enfin, dans la psychologie, c'est l'aspect « en manque d'amour », qu'il m'aurait plu de voir plus dévéloppé. Qu'est-ce que ça lui fait de ne pas avoir reçu autant d'amour qu'il en espérant, que d'autres ont pu recevoir ? Si cela lui donne l'envie d'en donner plein, alors on n'est pas du tout réticent à donner sa vie, voire même on est un peu inconscient du danger que perdre la notre représenterait. Si cela l'a empêché de savoir ce que c'est vraiment qu'aimer, alors on reste dans son coin, incapable de comprendre le mot du sens sacrifice (ce qui est étrange quand on habite à konoha et que l'on a la volonté du feu). Sa relation avec eux existe au tout début de l'histoire, mais elle ne reflète que les débuts, par la suite à part dire qu'ils sont toujours distant ... Me voilà frustré d'une si belle promesse !
J'apprécie néanmoins la touche de malice de ton personnage. Il a un côté très sombre : celui du manipulateur. Il se joue des autres. Un autre manque à être développé dans la description. Jusqu'à quel point l'est-il ? L'est-il avec tout le monde ? Ou finalement a-t-il une personne cher dans sa vie qui n'est pas morte ?

Conclusion du mental : J'ai appris seulement à la fin qui était Maeda ... Et je trouve ça dommage. C'est un peu comme si tout le reste au-dessus avait été inutile et qu'il suffisait de lire 133 mots pour savoir. Sur 938 mots, ça fait 14% de compréhensiblement clair :/ La profonde incertitude sur qui est maeda (pour toi aussi peut-être bien)te ralentit, te fait te contredire et sembler incohérent. C'est dommage (bis).
Comment je l'ai vu ? J'ai appris qui il était avec ceci : « Pour conclure ... : » C'est tellement barbare ! Avant même de lire la suite, je ne trouve pas cela correct et cela a confirmé mes doutes (crées des incohérences et bizarreries). C'est nous faire une liste de qui il est, sans chercher à nous le narrer (tu as pris la peine de rédiger au-dessus), une résumé fait à toi-même au cas où tu oublies.
Alors que tu as du potentiel dans l'écriture !

Ce potentiel, tu l'exploites dans ton histoire. Moi qui suis fervent des descriptions aura quand même trouvé du réconfort dans les 3860 mots que comprend cette avant-dernière partie.

Tout d'abord sur l'école : « étudiait autant que faire ce peu [*se peut] pour avoir des résultats plus que corrects. » C'est un bourru du travail, qui se contenterait d'un "plus que correct". Pour, finalement, n'avoir que des résultats moyens ? Cela aurait rajouté l'aspect qu'il n'est pas doué dans toutes les aspects du ninja malgré son acharnement. « Mais il réussit l'examen haut la main » ... Hein ?

Ensuite, dans l'ensemble, il y a plusieurs passages qui auraient nécéssités à mon goût plus d'explications.
Lors de l'entrée dans la forêt, depuis quand est-il devenu le « chef d'équipe » ? Ca s'est décidé quand il a réussi l'épreuve visiblement. Ils ont servi à quoi tes coéquipiers ? Ton Shintenshin aida a récupéré le rouleau, mais comment ? Comment peut-on s'enfuir devant des bestioles et ensuite être assuré d'une victoire nocturne ?
D'autres intéressantes idées surgissent, comme de mettre ton personnage là où jiraya a frappé. Cela nous permet enfin d'avoir des faits sur lesquels se raccrocher pour situer l'aventure. Donc, l'attaque de Konoha se passe un an après que tu ais été Chuunin. J'aurais bien aimé que des choses comme ça plus tôt dans ton histoire. Ne te la joue pas kishimoto avec la chronologie hein :D

Pour terminer sur ce qui concerne vraiment l'histoire : « Une pierre percuta de plein fouet la nuque du shinobi, l’assommant sur le coup »
Tu sais que le village en entier a été détruit, avec tout ses habitants hein ? Il aurait été plus logique d'imaginer que ton personnage a été tué. L'horreur ! Il est mort Maeda ! Mais notre nagato préféré a ressuscité tout le monde. Youpi \o/ Non, toi tu as juste été assommé. Hum.
« il sentait la vie le quitter. » Cela aurait été la seconde fois qu'il faisait fasse à la mort. Quand on frôle par deux fois la mort, cela nous transforme. Et peut-être même que la seconde est plus douloureuse que la première qui a tout de même été immédiate. Bon, après c'est Kakashi qui te sauve ...

Les conseils de Tonton Nato' : Pense à te relire (à haute-voix), sinon ça ne veut rien dire et il manquera des mots. Prend gardes aux répétitions (exemple Chuunin)
Attention à l'emploi des temps. « L'attaque coordonnée d'Orochimaru et du pays de Suna avait coûté la vie ... » Et dans le même paragraphe on a : « Elle atteignait facilement les 10 mètres de haut, l'acculer ne serait pas chose aisée. » Tu passes d'un style je dirais historique (raconter la vie de ton personnage) à un mode rp.

Tout ça ? Tout ça ! Tout ça pour quoi ?
Tout ça, pour te donner la réponse qui te brûle les lèvres. Suis-je Chuunin de rang B ? Tu as beaucoup bossé sur le fond, mais je crains que la forme ne suivent pas le même niveau. À mon avis, ton niveau est tout jutse. Cependant ! Cependant, au final la balance est en ta faveur. Oui, tu es validé Chuunin de Konoha de Rang B !

Félicitation ! Tu peux désormais Rp sur Naruto New Era et, une fois ta Fiche Technique validée, y combattre !

Note sur l'arme Tanto : considéré comme un kunai, donc devant un pro du taijutsu, ou pire du kenjutsu, ça ne fera pas le poids.

» Les techniques d'une jeune fleur
» Naruto s'absente dans peu de temps !

Dans un bouquet, il y a toujours une fleur fanée.. [End]

Dans un bouquet, il y a toujours une fleur fanée.. [End]

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