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L'homme sans visage [ terminé ]

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MessageSujet: L'homme sans visage [ terminé ] L'homme sans visage [ terminé ] EmptyMar 17 Juin - 22:45



« Nom & Prénom ou Citation »



Carte d'identité


× Nom(s) :Shuuhei
× Prénom(s) : Hisagi
× Surnom(s) : Shenyu

× Âge :
× Sexe : M

× Situation (marié/célibataire/etc): Célib

× Village d'origine : Konoha
× Grade : Ex Membre de la Racine -
× Rang : B ou A

× Spécialité(s) : Kenjutsu / Ninjutsu / Fuijutsu
× Affinité(s) : Raiton / Suiton
× Nom de l'avatar - manga de provenance : Bleach : Hisagi Shuuhei


Description physique


Les apparences sont parfois trompeuses, mais aujourd'hui j'ai décidé de vous décrire comme celui que je suis. Je n'ai pas pour habitude de me regarder dans un miroir, à vraie dire, je ne fais que décrire l'être que je vois en moi, lorsque je pense à moi. Droit, fier. Je possède un physique que l'on pourrait qualifié de banal au premier regard. Une chevelure ébène. 1m83 pour 78kg, je possède une silhouette fine. Le physique parfait pour la furtivité. Un physique banal, méconnaissable, les cheveux coiffés de la manière la plus simple qu'il soit, je vis de manière à ce qu'on ne puisse me reconnaitre à ma silhouette, démarche, ou gestuelle. Une fine banderole parcours mon visage horizontalement, c'était la marque de fabrique de mon défunt père, c'est ma manière de le faire vivre à travers moi, de ne pas oublier. De le voir à chaque fois que je me vois, cette simple ligne tracée sur mon visage est symbolique, elle représente mon passé, mais aussi mon futur.

Au cou je porte un collier, il s'agit là plus d'un effet de style qu'autre chose. Quelque chose qui m'appartiens, un trait de ma personnalité, qui me rappel qu'avant de vouloir ressembler tant à mes idéaux, je dois avant tout être moi-même. Aucun signe spécifique aux premiers abords, et pourtant, il y a tellement à lire sur moi. Lorsqu'on va au-delà des apparences, lorsqu'on cherche au plus profond de mon regard qui est perçant, tellement perçant qu'il en devient impossible de trop s'y plonger, de peur de ce que l'on pourrait y trouver. Une cicatrice au niveau de mon abdomen, cachée par les vêtements sombre de la tenue de l'élite de Konoha. Cicatrice qui signifie le souvenir, un souvenir douloureux, mais à la fois apaisant. Je n'ai pas pour habitude de me regarder dans un miroir, à vraie dire, je ne fais que décrire l'être que je voit en moi, lorsque je pense à moi. Droit, fier. Et enfin, une tristesse sur mon visage, dissimulée par cette neutralité constante qu'il se doit de faire paraitre, mais bien présente, tristesse d'un passé, que vous ne saurais tarder de connaitre.

Mais tout les aspects de mon apparence peuvent recelées trop d'informations sur moi, et mes intentions, voilà pourquoi dans mon quotidien, nous nous ressemblons tous. A quelques détails près, notre apparence physique est notre pire ennemi, nous, les ANBU de la racine, n'avons pas d'identité. Nous sommes des clones, des ombres. Chacun vêtu de cette tenue, cet uniforme, et ce masque. Devenue une seconde peau, dés que nous sommes habillés ainsi, rien ni personne ne peut deviner nos intentions, nos pensées, nos ressentit, ou notre passé. L'apparence est une arme, et nous savons nous en servir, plus que quiconque. .




Description psychologique


Ne jamais dire jamais. Ce monde est pourrit jusqu'aux os, et j'en ai pris conscience. Les épreuves du passé ont fait aujourd'hui de moi ce que je suis: Un serviteur de la justice. Comment je fais régner cette justice ? A quelle forme de justice exactement je semble rattaché ? Personne n'appréhende ce mot de la même manière, et ça, j'en ai conscience. C'est pourquoi j'ai choisit de faire régner ma propre justice, au travers d'une organisation...D'une famille. Au service d'un second père. Tuer ceux qui ont tuer, ou ceux qui vont tuer.
Prudence est mère de sûreté, Et je n''agit jamais sans avoir y avoir réfléchit à deux fois. Chacun de mes acte est calculé, chacun de mes gestes millimétrés. Perfectionniste, oui et non, disons que j'aime trop la vie, pour la perdre par la faute d'une erreur, et je l'ai appris à mes dépends.

Dévoué, je le suis également, à un homme, un dieu. La voix de la sagesse, celui qui m'as sauvé d'une vie de déchéance et d'échec. Je n'aime pas ressasser le passé, mais je vit en me construisant des erreur de celui-ci. J'ai tourner une page de ma vie en intégrant la racine, mais je n'ai pas honte, ni peur de revenir parfois en arrière, car l'homme que je suis, le doit aussi à mon père biologique, car l'homme que je saurais, je le devrais également à Danzô-sama. La reconnaissance et le respect sont pour moi la base de toute relation, l'honnêteté également, sans oublier le dévouement, lorsque celui-ci est de mise. Ce monde mérite un sauveur, une personne qui bougeras pour faire changer les choses. Mais ce monde n'accepte pas les héros, et pour moi, être un héros n'est rien d'autre qu'un statut que l'ont recherche, afin d'avoir la reconnaissance des autres. Je n'ai ni besoin de ce statut, ni de cette reconnaissance, et c'est pour cette raison, que j'ai décider de vivre ma vie, du côté sombre de ce monde. Car les atrocité que j'accomplis, pour exterminer la vermine de ce monde, ne seraient pas admirée chez un héro. Je suis la justice, ma justice, et je tuerais tout ce qui se mettras en travers de la racine, et de mon idéal de vie.

Chaque souffle passé sur cette terre as pour but de me renforcer, tant sur le plan moral que physique, chaque homme sur cette terre choisit à un certain stade de sa vie, son rôle à jouer, le miens est déjà tout décidé, et j'ai eût la chance, ou la malchance d'être écarté du chemin que le destin as voulu tracer pour moi, ce chemin où la route est plate, où les arbres sont verts, et les oiseaux chantent. J'ai été mis au pied de la vraie vie, celle qui est crue, celle qui ne te fait pas de cadeau lorsqu'elle veut s'en prendre à toi, ou ce qui t'entoure. C'était un sacrifice à faire, afin de pouvoir crée une personne capable de penser, et voir les choses telles que je les voies. Un sacrifice que j'accepte, avec énormément de tristesse, mais sans rancune aucune. Quel que soit la forme, le fond resteras le même. Voilà l'homme que je suis.





Histoire


Certaines personnes disent que le destin est tracé depuis notre naissance, d'autre disent l'avoir défier. Moi, je ne dit rien. Laissez-moi me présenté avant tout chose, jadis connu sous le nom de Hisagi, je suis aujourd'hui, Shenyu.
Un nouveau nom, pour une nouvelle vie. Un nouveau départ, une nouvelle vision de ce monde.



Mon histoire commence comme toutes les autres histoires, dès ma naissance. Fils unique, tant attendu au sein de la famille Shuhei, enfant d'un ANBU, né sous le règne du Sandaime Hokage. On dit que je suis né dans l'âge d'or de Konoha. Plus tard, j'apprendrais que le jour de ma naissance est également le jour où tout un clan est mort.

J'ai été un enfant aimé, ma mère n'ayant aucun travail avait tout le temps de s'occuper de moi, pour compenser l'absence de mon père. Mais je n'en souffrais pas, inconscient de son statut au sein du gouvernement, le voir rentrer chaque soir était normal pour moi. Je fus d'ailleurs le fruit de son enseignement, l'académie pour lui, était une chose futile. « Pourquoi allé apprendre la même chose que les autres, alors que je peux t'en apprendre d'avantage. » C'est ce qu'il me disait. C'était donc dans l'ombre de Konoha que j'œuvrais à devenir un ninja à mon tour, afin de pouvoir moi aussi, redonner ce savoir à mon enfant.

Tel était le principe de notre famille, et je l'avais bien compris. Rapidement maitre dans l'art des armes blanches, Kunais, shurikens, ou encore le Kenjutsu, je maitrisais ce qu'il y avais à savoir sur cet art, la clef d'un ANBU.
Un soir, mon père n'était pas rentré , j'avais 12 ans. L'inquiétude pouvais se lire sur le visage de ma bien aimée mère, la voir comme ça me rendais malade.. Mais malgré mon savoir, je ne pouvais agir, pas si rapidement.. Pourquoi s'inquiéter, il était toujours rentré à la maison, il rentrera ce soir. La fatigue s'emparait alors de ma mère..Elle partit se coucher, dans sa chambre.
C'était la dernière fois que je voyais ma mère.


Moi, je ne dormais pas. Et, contre toute attente, mon père finit par rentrer, mais pas seul. Un homme l'accompagnait. Au premier regard, il semblait faible, âgé... Recouvert de bandages... Avait-il connu la grande guerre ninja ?

Assis en tailleurs, mon Katana sur les genoux, je restait silencieux, alors que mon père déposas son regard sur moi.. Un regard que je n'avais jamais vu. Après une nuit d'attente, je ne voulais qu'une seule chose, qu'il me serre dans ses bras, qu'il se rende compte du mauvais sang qu'à pût se faire mère à son sujet.. Qu'il nous montre que tout allais bien. Mais non. Sans plus attendre, il m'ordonnas de sortir de la pièce, il avais apparemment, à parler..

C'était la dernière fois que je voyais mon père.


Mon katana tenu dans ma main droite, deux de mes shurikens tenus dans ma main gauche, attendant que mon père arrive, je m'entrainais. Une heure passas, sans que je ne m'en rende compte. Lorsque je décidât de prendre des nouvelles de mes deux parents, l'homme qui accompagnais mon père se trouvais derrière moi, il m'affichas un sourire... « Viens avec moi, ton père nous attend en ville, il m'as dit qu'il voulais t'offrir quelque chose pour s'excuser de son absence d'hier soir, et de son comportement de tout à l'heure. » me dit-il.. J'avais du mal à y croire, néanmoins, je voulais y croire.. Cet homme m'inspirais la confiance, malgré le fait que je doute de ses paroles, sa voix semble être reposante, ok, vieille inconnu, ami de mon père, allons-y.

Mon retour à la maison, fut le dernier, et le pire de toute ma vie. Moi qui avais hâte de rejoindre ma mère, hâte de retrouver mon père, qui avais dût partir en mission, selon son ami qui portais le nom de Danzô, je voulais leur raconter ma journée, leur montrer ce que Danzô m'avais appris, remercier mon père, sans qui je n'aurais pas reçu les félicitations de Danzô-sama sur mes compétences... Mais c'est en poussant la porte de ma maison, que je me rendit compte qu'ils étaient partit dans un lieu, où je ne pourrais pas les rejoindre. Pour la première fois de ma vie, je voyais des morts.. Ces morts était les deux seuls personnes que j'ai aimé.. Qui..? Pourquoi..? Une seule voix dans ce silence me répondit.

« Konoha n'est pas le jolie petit village que tu croit être, Hisagi. Viens, viens avec moi, et je t'expliquerais de quelle manière le Sandaime Hokage as fait tuer tes parents. »



- UNE SECONDE NAISSANCE -



Mes jambes faiblirent, ma vue se troublait, alors que je voyais cette scène. Mon sourire jusqu'à maintenant dessiné sur mon visage venais de disparaitre pour toujours. Ma main tenant mon arme s'ouvrit, rapidement, mes yeux furent inondés par les larmes, alors que je m'écroulais au sol. Désormais à genoux, complètement désemparé, je fixais le sol de mon salon. Il faisait sombre, seul la lune, pleine, illuminait la pièce. Je ne voulais pas relever la tête, je ne voulais plus les voir. Gisant au sol, baignant dans leur sang, le visage dessiné par leur dernière émotion.. La douleur, la tristesse. Mes larmes coulaient, mais je resté silencieux, mon souffle, saccadé. Je me retenais. Je ne voulais pas pleurer, je ne voulais pas leur faire cette offense. Ma peine ne pouvais être comparée à celle d'un autre, personne en ce jour ne pouvais éprouver ce que je ressens aujourd'hui.. Personne. Mais, le plus dur pour moi, était de réaliser ce qu'il s'était passé.. Mes parents venaient de se faire tuer, et je ne me rendais pas à l'évidence. Plus jamais je ne reverrais le sourire de ma mère, plus jamais je ne sentirais sa chaleur. Les entrainement de mon père n'auraient désormais plus lieu d'être.. Eux, générateurs d'espoir, la raison de mon existence, les seuls qui à qui la vie m'avais accroché... Ils étaient partit. Assassinés, pour je ne sais quelle raison, par je ne sais qui. Pourquoi.. Pourquoi ne m'as-tu pas tuer ? Qui que tu soit, que t'aie-je fait, en ce jour, pour que tu me laisse la vie ? Pourquoi sont-ils morts, et moi pas.

Mes mains plaquées contre le sol, le regard dans le vide, je sentais l'odeur de la mort. Mes pensées fusaient dans touts les sens, je ne savais plus quoi penser, ni quoi faire. Où aller, que devenir sans eux.. Ma vie, en l'espace de quelques seconde, venait de prendre un virage à 180°. Et l'auteur de ce crime devais en ce moment se délecté de son action.. Mes yeux se fermèrent, ma gorge se nouas.. Une soudaine envie de crier s'empara de moi, alors qu'une nouvelle larme coulas. Ma tristesse, rapidement, se changeas en haine. Mes poings se resserrèrent, mes dents crissèrent sous la pression de ma mâchoire, les larmes coulaient, encore et encore, continuellement. Je n'y arrivais pas, à crier, à dégager toute cette haine et cette tristesse qui désormais était les seuls choses que je pouvais à présent éprouvées.

« Konoha n'est pas le jolie petit village que tu croit être, Hisagi. Viens, viens avec moi, et je t'expliquerais de quelle manière le Sandaime Hokage as fait tuer tes parents. »

Cette voix vint percuter mes tympans, alors que j'étais perdu.. Cet homme, sortit de nulle part, Danzô. Une voix rassurante, une voix paisible, dans ce moment si morose. A vrai dire, je n'avais pas écouter ses parole, juste le son de sa voix.. Je fut comme apaisé par ses paroles... Et pourtant, je ressentais toujours cette haine en moi. Cet homme venais d'apparaitre.. "Viens avec moi, et je t'expliquerais"... Que faire d'autre.. ? Père, Mère.. Je vais revenir, vous offrir les obsèques que vous méritez. Et, bien que sans votre accord, je retrouverais l'auteur de ce crime, je vengerais votre mort, pour le bien.. Ma vie seras désormais vouée à cette cause.. Afin que, jamais plus personne n'aie à vivre ce que j'ai vécu ce soir. Ne m'en voulez pas, cette voie n'est pas celle que vous avez décider de me tracer.. Mais vous n'êtes plus là, laissez-moi m'occuper du reste..

[...]

« Il y as 12 ans de cela, le clan Uchiha as été mis à mort par Konoha, sous ordre du Sandaime Hokage. Je suis le seul, extèrieurement au conseil des sages de Konoha, à connaitre cette information.. Hisagi, ton père le savais. Il étais devenu une menace pour l'image du village, lorsque le Sandaime as appris qu'il t'entrainais en secret, il s'est imaginer qu'un jour, tu apprendrais la réalité au sujet du clan Uchiha.. C'est pourquoi il as fait tuer ton père. »


Je me trouvais dans les sous-sols de Konoha.. Un quartier dont j'ignorais l'existence, celui de la racine. Je tenais dans ma main gauche, le masque ANBU de mon défunt père, dans ma main droite, son Katana. Les bras pendu le long de mon corps, j'écoutais, le regard perdu dans le vide.. Je réalisais peu à peu dans quel monde je vivais. Une soudaine pensée vers mes parents, leur image que je n'oublierais jamais, allongés dans le salon, avec comme seul compagnon, une marre de sang. Je m'autorisais une seule et dernière fois à voir leur sourire dans mes souvenirs, sourire qui resterais figé à jamais..

« Ton père savait que si je te prenais avec moi, les ANBU ne viendrais pas te chercher en ma présence, c'est pourquoi il m'as demander de m'occuper de toi pendant la journée. Tu est la seule personne qu'il aie pût sauvé.. »


Ma gorge se nouas de nouveau, alors.. Dés le début, il savait que ça allais se terminer comme ça ? Pourquoi.. Pourquoi ce monde est-il comme ça ? Mes yeux s'écarquillèrent, je sentais les larmes revenir.. Non, je ne devais pas pleurer. Mon regard se stabilisas, se focalisant sur Danzô.. Chef de la racine hein. Je restait silencieux, mais la douleur que je ressentais au plus profond de moi était encore présente.. Elle le serais à jamais. Mes yeux changèrent rapidement de regard, dans la route que j'avais décider de me choisir, les sentiments n'avaient pas leur place. Père, Mère, merci pour tout.. Merci pour cette enfance magnifique que vous m'avez fait vivre, aujourd'hui, je promet de vous venger, et ce, au prix de ma vie, et de celle de ceux qui se mettrons au travers de ma route. Dans l'obscurité, je ne pût voir le sourire que venais d'afficher Danzô, le sourire d'un homme qui venais d'arriver à ses fins.

« Parfait, à compter d'aujourd'hui, tu répondras sous le pseudonyme de Shenyu. Hisagi n'éxiste plus. Laisse-moi t'aider à venger la mort de tes parents, laisse-moi t'aider à te venger du Sandaime. »



- TEL SERAS TA VIE DESORMAIS -



Le sol, terreux, crasseux. C’était ce que j’avais dans mon champ de vision. Là, assis sur ce banc, je regardais le sol. Deux ans étaient passés depuis ce soir où tout avait changé dans ma vie, deux ans.. Déjà. Le temps passais, et pas un jour ne se terminais sans que mes pensées soient tournées vers cette nuit, à jamais gravé dans ma mémoire. Pas une nuit ne passais, sans que je rêve à ce jour où je rencontrerais cet assassin. La justice.. Quel mot inutile. Un seul mot, et des centaines d’interprétations. Qu’est-ce que la justice, est-ce un terme utilisé pour représenté le bien ? A moins que ce soit une manière de juger, ou d’être juger. Pour ma part, ce mot était juste un prétexte. Un prétexte pour agir, un prétexte pour tuer, ou pour vivre. Un prétexte pour décider du sort d’une ou de plusieurs personnes. Ayant un contraire tout aussi ridicule, l’injustice. Ce qui est justice pour l’un, peut être injustice pour l’autre. Et je ne pouvais m’empêcher de pensé à quel type de justice pouvais représenter l’auteur de la mort de mes parents… Car pour moi, c’est la plus grande injustice de ce monde. Mais au fond, cet acte m’a ouvert les yeux sur la réalité de ce monde-là, et sur ce qu’un ninja doit y apporter. En ce jour, je réponds au nom de Shenyu, et je fais régner ma justice, à travers celle de la racine, cette organisation à laquelle je suis voué corps et âme depuis deux ans maintenant. Deux années d’entraînement acharné, dans l’espoir d’enfin pouvoir achever ma première mission. Aujourd’hui, le jour est venu. Selon Danzô-sama, mon jugement est désormais clair, ma vision des choses n’est plus alterner par les évènements passés, et je suis capable de discerner le bien et le mal, grâce, ou plutôt dirais-je, à cause de la perte de père et mère.

Mon regard se releva, fixant désormais le mur qui se trouvait face à moi. Accroché à ce mur, les vêtements que portaient mon père jadis, son masque, son habit d’ANBU, son Katana. Mes yeux azur posés sur ce qui fût longtemps ma fierté, je ne ressentais aujourd’hui plus que de la haine. D’un mouvement lent, mais certain, je me levai. Là, debout, à quelques mètres de cette tenue, je me remémorais mon dur entrainement. Des heures, des journées, des semaines, des mois.. Je ne vivais que pour ça. Espérant que de là où il se trouve, mon père me voit grandir, me voit devenir puissant. Cet entrainement m’avais forgé, et ma musculature en témoigné les fruits. Malgré mon jeune âge, je possédais déjà un potentiel, et j’en étais conscient. Peut-être avais-je grandit trop vite… En même temps, comment faire autrement. Quoi qu’il en soit, Hisagi était mort cette nuit, il vivait en ce jour à travers Shenyu, à travers celui que je suis devenu. Et je réaliserais ce que Hisagi ne peut réaliser. Un pas, puis un second, suivit d’un troisième. Ma main gauche se tendit, je la déposai sur le plastron en métal, gris, froid. Mes yeux se fermèrent quelques instants, alors que le métal froid, sous la chaleur de ma main, devenais tiède. Mes sourcils se froncèrent alors, tandis que je sentais une boule au ventre se formée, mon nez me piquas, je sentais les larmes venir me montées aux yeux. Non, il ne faut pas pleurer, pas maintenant. Je dois être digne de cette armure, je dois savoir représenter sa force, et défendre le village dans l’ombre. Pas de place pour les sentiments. Ma main droite se décollas, j’attrapai le plastron par le haut, l’enfilas. S’en suivit des protège bras. Le gauche, le droit. Chacun de mes gestes étaient fait pour donner l’image de cette scène à celle d’un rituel. Chacune des parties de cette tenue me donnais à chaque fois un peu plus la force de continuer, la force de croire en ma décision. Il ne s’agit pas de vengeance, ni de représailles. Une rancune ? Non… C’est quelque chose en soi, un sentiment de faiblesse. Savoir que cet homme est encore là, dehors, et coule des jours heureux. Aucune preuve, aucun indice ne pourrais me mener jusqu’à lui, mais sa plus grande erreur cette nuit-là, as été de me laissé vivre, car un jour viendras où je le tuerais.

Ma main droite tenait le masque ANBU, j’en voyais l’intérieur. Mon bras se rapprocha de mon visage, tandis que mon autre main se plaça derrière ma tête, je fermais les yeux, sentent le bois froid de ce masque se déposé sur mon visage, un frisson me parcourut. Lorsque j’ouvris les yeux, je voyais le mur, face à moi, désormais vide. A partir de maintenant, dés le moment où ce masque masquais mon visage, il masquait tout sentiments. La haine, la joie, la tristesse, la douleur, le bien-être.. Toutes ces choses que je ne ressentais plus. Mon visage resterait de marbre, tout comme ce masque. Désormais en tenue, je sortis de la pièce, les poings serrés, le Katana de mon père attaché à mon dos. Nulle besoin d’aller à la rencontre de Danzô-sama, je savais ce qu’il me restait à faire.


Un pseudo ANBU du village caché de la feuille a tenté de déserter, après avoir donné la mort à un groupe de Genin qui s’étaient mis sur sa route, il se dirigerait actuellement vers Kiri. Son campement serait selon des sources, posté aux alentours de la vallée de la fin. Ma mission est donc d’en finir avec lui, et de ramener son corps au QG de la racine. Eviter le contact, et les combats inutile, en terminer rapidement, proprement. Tels étaient les consignes, et j’allais les respecter. Mes pensées n’étaient que fixées vers cet objectif, le regard concentré, je sautais de branche en branche. Le vent s’engouffrait au travers des trous de mon masque, les poings serrés, j’allais vers mon destin. Cet homme dit ANBU avais tuer de sang froid un groupe de trois enfants.. Un ANBU.. Mais sur quels critères l’hokage se basait-il pour recruter cette élite que j’estimais tant… Comment as t’on pût en arriver là. Quoi qu’il en soit, mon adversaire n’était pas n’importe quel ninja, et si il avait intégrer cette section, c’est que ses compétences en tant que shinobis étaient au dessus de celles d’un Juunin, de plus, il a déjà tué des membres de Konoha inférieur à lui-même, il n’hésitera donc pas à m’ôter la vie si je lui en donne l’occasion. Une alternative, ne pas le combattre… Un assaut, un coup, c’est comme ça que j’allais devoir achever cette mission.

Je m’approchais rapidement de la vallée de la fin, et désormais mon rythme était plus lent, plus silencieux. Tel une ombre, je me faufilais entres les branches, j’observais, le tentais de sentir la moindre once de chakra. J’entendais les chutes d’eau au loin, et déjà l’odeur de bois humide remontait à mes narines. J’y étais. Plaqué contre un tronc d’arbre, la tête orientée vers la droite, mon cœur battait, excitation, peur ? Peu importe, je ne devais pas y prêter attention. Ma main se glissas dans ma sacoche, mon souffle était lent, silencieux. Mes doigts saisirent un Kunai, lorsque je voulu extirper celui-ci de ma sacoche, un shuriken tiré par ce même Kunai tombas par terre, je n’avais pas eût le temps de le réalisé que déjà, je sentais une douleur atroce au niveau du ventre.

« Alors c’est ça qu’ils m’envoient ?»

Une voix se glissas dans mes oreilles, percutas mes tympan, dans le silence qui régnais sur cette forêt. Un silence de mort, pour une mort silencieuse.. Une mort ? Serait-ce mon heure ? Mes poumons se raclèrent, ma main libre par reflexe se déposas sur le lieu de ma douleur, mon regard troublé par la douleur, se relevas. Un homme se tenait devant moi, sur mes mains, un liquide, tiède. Etai-ce.. Mon sang ? Ma gorge se nouas, je sentais un liquide remonté le long de mon estomac, je toussa, avant de laissé poussé un soupir d’agonie. Ce même liquide tiède sortit de ma bouche, coulas le long de mon menton, pour poursuivre sa route sur mon cou. Je reconnaissais ce goût, cette odeur. Un crachat de sang, puis mon souffle, la panique gagna tout mon corps, la chaleur sous mon masque était insoutenable, ma vue était de plus en plus trouble. Ma main qui tenais le poignet de mon agresseur se resserras, on dit que lorsqu’on s’apprête à mourir, on peut voir sa vie défilée.. Moi, je ne voyais rien… Sans doute n’était-ce alors, pas encore mon heure. Mes pensées se tournèrent vers mon père.. Me voyait-il actuellement ? J’étais donc si faible ? Mes yeux bleus se posèrent alors sur ceux de l’homme en face de moi, et ce n’est que maintenant que je voyais qu’il portait les vêtements d’un ANBU, que je fis le rapprochement.

Fait chier… Il m’avais trouver le premier, et pourtant.. Une seule erreur de ma part avait suffit. Je voyais son visage, il avait l’air confiant, sur d’avoir cette victoire… Je pouvais le voir. Ma grimace de douleur toujours présente, je me demandât un instant à quoi je pouvais ressembler, ce que mon visage pouvais inspirer.. Mais, cet homme, face à moi, se le demandais sûrement aussi. Ce masque que j’avais sur le visage, ce masque que mon père as longtemps porté, aujourd’hui, c’est le mien… Et je viens de découvrir pourquoi, au-delà de l’anonymat, un ANBU gardait ce masque. Ma tête se relevas, désormais un sourire ornais mes lèvres, suivit d’un rire, presque silencieux. Ma main qui jusqu’à présent tenais le Kunai, bougeât d’un vif geste, alors que l’autre, qui tenais le poignet du déserteur, resserras un peu plus son étreinte. Un giclée de sang, un corps tombas au sol, un autre restât debout.. Là, adossé contre l’arbre, essoufflé, souffrant, je regardais l’homme à mes pieds, se vidé de son sang.

Ses mains à son cou, on aurait pût croire qu’il tentait de boucher le trou que je venais de faire à sa carotide, ou aurais pût croire qu’il tentait de réduire le débit de son sang qui coulais. Rapidement, une flaque se forma sous l’homme, alors qu’il ne bougeait plus. Confus, entre peur et jouissance… Interrogation, et sentiment de puissance. A ce moment précis, je le sais.. Ce premier cadavre ne sera pas le dernier. Tuer est en soit, un acte malsain, mais pour préserver le monde de touts ces déchets, le mot tuer n’est plus de vigueur, sacrifice serais d’hors et déjà plus approprié. Sacrifier une vie, au prix de laissé derrière elle une famille en deuil, pour permettre à d’autres vie de restée sur cette terre. C’était ça, ma justice.

Je laissais mon corps tombé, glissant le long du tronc, pour enfin me retrouver assis. La douleur à mon ventre ne disparaissait pas, et pourtant elle était devenue supportable. Aucun point vital n’avait été touché, par chance… Ou peut-être pas. Je ne lâchais pas le cadavre de l’homme du regard, comme si je craignais qu’il ne se relève, pour m’attaquer de nouveaux. Mon masque encore sur le visage, j’avais toujours le goût du sang imbibé sur mes lèvres...


- ET MAINTENANT QUE VAIS JE FAIRE  ?
Un retour vers le domaine enfoui de la racine. Un frère d'arme, un frère de sang allait annoncer une nouvelle des plus choquante. Ma vie allait changé.

Dans cette sombre pièce, avec cette faible lumière, je découvrais le paquet de missives destinées à je ne sais qui, elles étaient pliées et rangées exactement là où il avait murmuré dans son délire où les trouver. Cet enfant disait donc vrai, car c'était bien encore ce qu'il était, tout comme moi à cette époque là, il était mort dans ses habits d'un blanc immaculé, son air était serein, il était comme endormi voguant dans un songe, j'avais posé ma main sur ce visage doux qui n'avait rien d'aussi viril qui le prétendait, c'était une étrange conciliation entre un minois féminin et les traits enchanteurs d'un beau jeune homme. Il était un bel enfant qui savait faire rougir les joues d'un simple regard les rares fois où ils s'échappaient de sa capuche, dire que j'étais la cause de la disparition de ce monde d'un pareil être, lui qui se disait mon frère venait pour me ramener, mais où ? Le temps ne fut pas aux retrouvailles pour nous, car elles furent bien courtes, nous enfant du même age étions-nous vraiment du même sang comme il le disait, est-ai-je vraiment l'enfant perdue que son défunt père cherchait? La quête de mon frère qui était venu à moi. Bien que je restais perplexe, je me sentie redevable, comme avec une dette, un poids sur ma conscience, qu'il est tort ou raison n'avait plus d'importance, il était mort pour ça, pour moi...

Difficile d'expliquer ce que cela peut représenter quand l'on a jamais eu de famille, de plus... Il parlait d'Assassins, mes oreilles n'étaient pas sourdes, je restais surpris mais sans plus, il fut le temps d'un choix qui ne prit que quelques secondes en vrai, un instinct plus fort que moi, celui de la survie. Le jeune homme avait perdu son attirail, son identité, elle devenue mienne en un instant, j'étais lassée de cette vie au rabais et la sienne il l'avait fini ici avec un dernier souffle, elle ne lui manquerait plus. Il n'avait pas menti, je me rendais bien vite compte à quel point nous nous ressemblions, une chance que ses cheveux soient un peu long, une pointe de nostalgie dû à ma nature sûrement refusait que je coupe les miens que j'avais chérie si longtemps. Et nous voilà en une nuit échangé, sous une capuche et le poids d'un vêtement beau et étrange, je regardais à terre dans mon haillon mon homologue qui conterait ma mort en ce lieu...une voix, la voix de mon frère prit alors toute son importance dans cette endroit devenu maintenant qu'un fardeau.

" Danzo Shimura, chef de la racine Anbu de konoha est mort. Dans un affrontement plus que diabolique face à un Uchiha. La racine n'existe plus désormais. Nous sommes seul "


- JE NE SAIS PAS JE NE SAIS PLUS JE SUIS PERDU

La racine de l'arbre venait de mourir avec son créateur. L'homme vieux qu'il était, devenu maintenant poussière. Nous étions seul, moi et mes confrères de la racine. Plus de chef, plus de but. Que faire maintenant ? me repentir de mes pêché ? Après avoir suivi tout ce temps un homme sombre, comment pourrais je devenir un homme bon ? J'avais fait coulé beaucoup trop de sang, d'hommes, femmes, enfants. Je n'avais aucun remord dans mes actes passé. J'exécutais les missions que l'on me demandé. Je n'avais pas à poser de question n'y même le droit d'y penser. Tout ce qui était bâti dans ce lieux n'était plus que chose ancienne. Maintenant il fallait prendre un nouveau chemin. Il y avait échos qu'une guerre devenait imminente.

La mort de notre mentor l'ors du conseil des Kages dans le pays du fer, était vue pour nous sommes la fin de notre vie. Nous avions maintenant le choix, chose que nous n'avions pas l'habitude. Un choix qui déterminera le fin de notre vie. Devenir un membre du village sous les ordres de la reine des limaces, ou être un ninja errant. Mon cerveau qui avait été formaté à une seul chose : Tuer ! ne pouvait pas dans l'état actuel être un ninja d'un village dont il a voulu sa destruction.

Je n'étais pas bien dérangée de ne pas dormir très tard la matinée, l'aube était l'un des moment les plus agréable qui soit. Air frais, calme, sérénité, que demander de plus? L'absence de cette cécité qui m'empêchait depuis des années d'admirer le lever du soleil, peut être? Au fond, je m'en accommodais particulièrement bien. Retrouver la vue n'était pas une chose que je désirais: j'avais connu un monde si laid que le voir à nouveau ne pourrait me donner qu'une envie, celle de redevenir aveugle à nouveau. J'étais heureuse comme je l'étais, et je n'avais rien à demander de plus afin de satisfaire mon bonheur.

Que pouvais-je faire d'autre que me prélasser après tout, désormais? J'avais connu la gloire, j'avais connu l'amour fraternel, j'avais connu l'angoisse de la vie dans la rue, les frissons de la chasse, de la traque et de la mise à mort. J'avais voyagé à travers de nombreux pays, sans jamais vraiment les voir, rencontré des centaines de personnes sans jamais vraiment les connaître.

Que me restait-il désormais? Des souvenirs, des millions de souvenirs plein la tête. J'étais une vétéran et j'avais abandonné mes exploits, laissé derrière moi mes prestiges passés, ces civils que j'avais protégés durant une décennie. Et tout cela pourquoi? Parce que j'avais décidé qu'il était temps de cesser le massacre. Arrêter de mentir, de cacher des crimes et actes dénués de toute humanité derrière des valeurs prétendues nobles. J'avais simplement ouvert les yeux, sans mauvais jeu de mot.

La nuit tombée certains humains préféraient se regrouper dans leur demeure, afin de se ressourcer et ainsi se préparer à débuter une nouvelle journée, ils se sentaient à l'abri de tout danger, et d'une manière tout permis, c'étaient leur petit paradis, du moins pour certains...
D'autres rien qu'à la vue d'une construction familière devenaient « nerveux » ou désireux de fuite vers un autre ' monde' dépourvu de tous problèmes économique, sentimental ou familial, un rêve qui ne réalisera peut-être jamais à leur plus grand malheur. Néanmoins, pour quelques personnes, pendant une durée indéterminée, ils n'avaient pas d'habitation « fixe ». Ils préféraient vivre de la nature ou simplement fuir la réalité. 

Dans mon cas, il s'agissait non d'une fuir ou un choix, mais plutôt une obligation, pour atteindre son but et gravir les échelons, il fallait sacrifier quelques plaisirs quotidiens, n'est-ce pas ? 

" Que mes pêché soit plus. Que ma volonté d'oeuvrer pour le village de konoha perdure. Je fais le serment sur mon bandeau frontal, de servir jusqu'a la mort le village cachée de la feuille. Je me repentis de mes dernière années. Je ne suis plus l'homme attaché au racine de l'arbre de Danzo. " Tout en jetant au sol le masque de la racine.

Je quittais les lieux, qui maintenant devenais mon passé.




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MessageSujet: Re: L'homme sans visage [ terminé ] L'homme sans visage [ terminé ] EmptySam 21 Juin - 13:02

Terminé mes enfants :)
Bonne lecture au staffieux


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MessageSujet: Re: L'homme sans visage [ terminé ] L'homme sans visage [ terminé ] EmptySam 21 Juin - 20:26

Bienvenue Shenyu,

Bien que de très nombreux éléments m'ont plus dans ton personnage, beaucoup de négativité ressortira de ma correction tant il y a de fautes...

Les conjugaisons posent problème. Je dirais même qu'elles sont catastrophiques. Tu confonds la première et la troisième personne et ignores la différence pluriel/singulier. Parfois même, des subjonctifs apparaissent là où ils ne devraient pas... Je ne pense pas que tu puisses atteindre le rang A avec de telles lacunes. Ça sera non pour moi ; tu pars donc déjà sur le rang -B. Et encore ! J'ai pris cette décision à la seule lecture de la première partie de ta fiche (physique + mental). Je n'avais pas encore lu l'histoire, qui, à quelques exceptions prêts, n'a pas un verbe de juste... J'aurais pensé que compte tenu de tes ambitions et de la prestigieuse institution que tu vises, tu aurais au moins pris le temps de bien corriger le présent de l'indicatif ? Même pas.

Pour parler d'autres fautes : « Et enfin, une tristesse sur mon visage, dissimulée par cette neutralité constante qu'il se doit de faire paraitre, mais bien présente ». Pas très clair. Tu es neutre, mais ta neutralité est dissimulée par ta tristesse, que l'on voit quand même, et qui disparaît elle-même sous ta neutralité. Du blabla pour gagner une ligne. La phrase : « Je n'ai pas pour habitude de me regarder dans un miroir, à vraie dire, je ne fait que décrire l'être que je voit en moi, lorsque je pense à moi. Droit, fier. », revient dans le premier et le deuxième paragraphes. Si ça n'est pas une erreur mais un effet de style, je ne vois pas ce qu'il apporte ; il ne fait que valoriser les quelques répétitions de ton physique (car il y en a) et donner l'impression d'un refrain ; mais d'un refrain inutile.

Malgré tout cela, ton style est pourtant correct et ne souffre d'aucune lacune selon moi ! Tu manies bien la langue, le vocabulaire est précis (malgré des répétitions de structures de mots qui sentent le par cœur), et le rythme nous porte à travers la narration. Je trouve dommage que tes quelques lacunes soient si grosses. À vrai dire, faire des fautes n'est jamais grave et je ne les prends d'ailleurs pas en compte dans mes corrections. Mais à ce point ! On ne peut pas fermer les yeux. Je t'assure que même lorsqu'on lit le retour du père accompagné d'un homme qui sera son assassin etc, l'action nous apparaît, l'angoisse nous saisit, les phrases réduites à quelques mots subliment le tout ; mais le regard, en permanence, se redirige vers les « il allais », « lorsque je décidât » et autres horreurs qui ruinent la lecture et donnent envie d'en finir au plus vite ; quitte à ne pas tout lire.

Je l'ai néanmoins fait. J'ai tout lu ; et si je devais ignorer un instant le gros point négatif dont je ne cesse de me morfonde, je dois avoué que je suis subjugué par le reste. L'histoire n'a pas d'incohérences, même la mort du père est expliquée, et le style naïf de la première partie rend parfaitement l'esprit du petit garçon suivant un inconnu malhonnête. Tu ne te sers pas uniquement de la première personne par quelque goût intime, mais pour représenter une évolution ; et je ne peux qu'applaudir cela ! Dans la transition des chapitres, j'ai même eu l'impression que tu t'étais inspiré du schéma narratif de la série elle-même. Une fin sombre, masquée, violente ; et le début de l'épisode suivant plus développé, mais qui reprend, en écho, des phrases que leurs auteurs précisent. Quant au Danzô de ta biographie, il est splendide. Exactement le bon vieux Danzô qu'on a toujours connu. Tu le joues très bien (malgré les FAUTES !!!), à savoir réservé, sans identité (son nom apparaît tardivement dans ta biographie ; encore un très bon point), et, bien que muet, toujours avec la même présence. Vraiment, j'ai été partagé entre le dégoût que m'inspirait ta conjugaison et les éléments géniaux qui structurent ton histoire.

Je te reprocherais néanmoins ton syndrome Harry Potter ; à savoir le goût que tu as de développer un paragraphe gigantesque sur l'ouverture d'un robinet. Mais c'est un penchant mauvais dont sont victimes bien des utilisateurs de la première personne, qui entassent, face au moindre événement, une myriade de pensées dont on se... fout ? Surveille un peu tes débordements, même s'il y a rien de méchant ici.

Mais le pire, c'est qu'on découvre que ton histoire n'est pas vraiment une histoire. Je ne vois que ton recrutement à la Racine, puis une vulgaire mission que tu sembles avoir accompli il y a longtemps, et rattaché à ton enfance pour donner l'impression que tu as travaillé. Où se trouve le reste ? Ta démission ? La mort de Danzô ? La guerre ? La fin de la Racine ? Ton rôle désormais ? Ta participation à la reconstruction ? Tes opinions récentes ? Je ne donnerai pas d'avis tant que tu n'auras pas d'histoire. Les sujets, c'est pour les personnages du manga ; pas les autres !


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MessageSujet: Re: L'homme sans visage [ terminé ] L'homme sans visage [ terminé ] EmptyDim 22 Juin - 10:55

Yop ! Voila j'ai rajouté quelques lignes concernant les points que tu as évoqué.
Je ne suis pas allait jusqu'a la guerre, sachant que je n'ais pas prit part. Mon personnage ère seul attendant le retour des troupes pour ce repentir maintenant devant Tsunade.

Je tiens vraiment à faire mon passage d'homme sombre à ombre proche de la lumière INRP sachant que cela est un impact cruciale pour moi. Inrp Tsunade peut avoir donc le choix M'accepter ou me demander de quitter le village est être un ninja érrant.

Concernant les fautes, je suis désolé. Même avec les logiciels de correction, impossible pour moi d'arriver à corriger. Je souffre IRL de
J'espère que les nouveaux paragraphe offrira un peu plus de chose sur mon idée de BG.
Si jamais finalement, vous voulez vraiment que je rajoute tout les passages, concernant la guerre ect, je le ferais.

Bonne lecture.


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MessageSujet: Re: L'homme sans visage [ terminé ] L'homme sans visage [ terminé ] EmptyDim 22 Juin - 12:16

Tu n'imagines pas dans quelle gêne je me trouve. Ta présentation, s'il fallait considérer les fautes, ne mériterait même pas le rang C. Mais il y a tant de bons éléments, tant de bonnes travailles, une telle maîtrise du personnage et du JDR en général, que ton rang se situe plutôt à un rang C+.  Malheureusement, je ne peux pas t'accorder le rang B ; tu évolueras dans le jeu malgré tes difficultés personnelles, et malgré tes fautes, nul ne pourra contester les rangs que tu atteindras. Validé chuunin rang C de Konoha, ancien membre de la Racine. À toi de t'intégrer à l'ANBU dans le jeu, si Tsunade le désire ; et bon jeu !


Félicitations ! #3


Tu es l'un(e) de nos premiers membres validés ! Et par conséquent, l'administration de NNE va te récompenser. À Konoha, une vieille dame hideuse et recouverte de verrues tient depuis plusieurs années maintenant une loterie. Les membres peuvent y parier de l'argent, mais aussi acheter des tickets pour la tombola. Ayant validé ta présentation, tu gagnes un ticket d'or qui te permettra de jouer lors de la prochaine session, et, qui sait ? de gagner un avantage dès le début de ton parcours !



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