My name is...

Que vous êtes intelligent !

‹‹ Vous me semblez... Quoi, radieux ? Hystérique. C'est le cas. Quasi... Euphorique ? Psychotique... c'est un sédatif qu'il vous faudrait. ››


• Chaque entité physique, renfermant une âme et non toute entité abstraite, possède intelligence, savoir, sagesse, haine, défauts et qualité, pécher que Dieu donna lors de notre naissance, lors de la création de ce vaste monde, blasphème ou offrande, nous utilisons nos émotions à des fins bonnes ou mauvaises, sadique ou Sage. Réflexion est maître de nous-mêmes, tels les arbres, nous ne contrôlons pas le moindre mouvement qu'emprunte notre vie, sur l'un des nombreux chemins qui mènent à la porte de la faucheuse, l'édifice absolu et craint, le gouffre de feu, les abysses et les abîmes, le repère de l'enfer ou celui du paradis : l'entre de la mort. Nos choix ne sont que contextuel, relatif à la situation présente. Infâmes insectes que nous sommes, trop petit pour pouvoir évoluer dans les divers continents, ou se faire une place dans les hautes sphères, devenant Dieu tout-puissant, ange de la mort ou de l'amour.

• Le caractère, chose propre de chaque personne, reflétant la réalité que nous sommes, les pensées de notre individu. Aussi imaginaire, que notre propre imagination, que la vue de l'espace dans notre tête, que les mille-et-une étoile que l'on ne peut pas voir, trop vaste est notre univers, trop vaste sont nos idées. Trop grand sont nos projets, pour d'aussi petites créatures que nous, trop petit sont nos espoirs face aux courroux de la vie, qui est notre seul jugement dernier, nous ne pouvons pas maîtriser notre destin, comme nous maîtrisons nos armes, nos Kunai, Shuriken et autres ustensiles de guerre que nous autres Shinobi, utilisons à des fins peu archaïques. Notre impression est mauvaise, nos idéaux ne sont que très peu original et néanmoins dépourvus d'une once de classe quelconque. Où vont nous conduire toutes ces inepties ? Notre vie n'est-elle donc, qu'une forme sans limite d'utopie que l'on ne peut renverser, que l'on ne peut combattre, pour finir par mourir sous les gongs du silence, sur un lit de mort ou vaillamment en servant notre pays, afin de briser le rêve qui nous contrôle durant toute notre existence ? C'est donc là, un éternel vice, incorruptible, invincible et invisible, qui nous dominent sans cesse.

• Qui étais-tu, il y a de cela fort longtemps ? On ne pouvait savoir. Il semblait être une personne très renfermée sur soi-même, ne faisant confiance qu'à sa force et à son esprit, il rusait pour survivre... dès la jeunesse il fut enclin à participer au changement de l'avenir des Shinobi, c'était sa destinée. Il n'éprouvait cela dit aucune peur, aucune curiosité, il se contentais seulement d'apprendre ce qu'il voulait savoir en temps voulu. Il fut éduqué par lui-même, vivant de barbarie, une éducation sanguinaire d'un guerrier si pauvre et si jeune encore... son enfance était déjà gâchée, mais il ne s'en rendait pas compte immédiatement, il était bien naïf, il ne savait nullement ce que les garçons ordinaires possédaient comme vie.

• Intelligence, une aura inimaginable, une notion définissant notre aptitude à comprendre les choses et à créer des situations, certains peuvent appeler ça : " être cultivé ". Connerie. Il n'y a aucunement besoin de culture pour être un génie comme il l'a été. Car aujourd'hui il l'est toujours, d'un ton calme et serein, il analyse la faille et comble le manque pour obtenir l’avantage qui lui ai dû. Sa ruse peut s'avérer refoulée lors de ses changements d'humeur, laissant place à une machine sanguinaire ne voulant qu'écraser le bétail se trouvant sur son chemin.

• Lunatique, mot définissant l'humeur qui change sans cesse, on peut définir cela comme étant " capricieux ". Mais lui, c'est sa personnalité qui est comme cela, faisant également parti de son humeur douteuse. D'habitude pourvu d'une sérénité à toute épreuve, l'homme à la double face peut se transformer en l'espace d'une seconde en une personne furieuse, colérique, avide de souffrance ; de sang ; de tuer. Les pulsions meurtrières lui font face lorsqu'il combat principalement... grâce à sa raison de vivre, Sasuke, il a su trouver le rythme pour rester indifférent. Mais lors d'une agitation ou d'une colère trop émotive, il peut craquer à tout moment.

• Charismatique, c'est ce qui représente l'admiration de tous, le pouvoir invisible que l'on exerce sur les autres et qui font qu'ils nous craignent. C'est une aura qui montre les personnes pourvues d'une chose que d'autre non pas, on ne peu cependant pas savoir quoi, mais on ressent qu'ils sont spéciaux. Lui, il en fais partie, il dégage une force non perceptible, qui fait que ceux qui l'écoutent, ressentent sa présence. Déjà doté d'un gabarie lourd, son aura le rend plus " étouffant ", on le sens sans cesse auprès de nous.

• L'éducation, il n'en a pas. Ayant subi une jeunesse difficile, pris seulement dans le sanglant et les expériences, il ne possède aucune politesse quelconque et même si il s'efforce de ne pas être impoli, très souvent il passes pour un être arrogant ou grossier, mais il ne s'en rend pas nécessairement compte... c'est d'un aléatoire frustrant et imprévisible.

• Les animaux... douces et dociles créatures, faisant partie globalement de sa représentation psychologique. Il aime les choyer et ne peut en dire du mal, si bien qu'il a le don de communiquer avec eux... longtemps désigner comme ses seuls amis, il les respecte et éprouve un sentiment chaleureux à leur encontre.

Que vous avez de grands muscles !

‹‹ Vous avez tuez ma femme lors de ma lune de miel ! ››
‹‹ Croyez-moi Watson, j'ai soigneusement tout calculé ! ››

Dieu créa corps et âmes. Il donna apparence et évolution, ainsi qu'intelligence. Il donna à ce monde, la possibilité de se démarquer grâce à notre simulacre aussi vrai soit-il. Nous sommes tous différents, mais à la fois, tous égaux. Notre enveloppe charnelle est faite de chair, d'os et de cellules, en compter le nombre de facteurs pour désigner comment est-ce possible, relève de l'impossible : Dieu n'a sûrement pas bâclé ses idées, ni son travail. Dans la vie d'un Shinobi, c'est une chose des plus importantes, de nous distinguer par notre physiologie, la carrure, les traits du visage, notre corpulence, notre démarche : c'est à ça que l'on reconnaît une quelconque entité. Nous possédons tous une certaine aura. Cette dernière, laisse pré-sentir aux autres, des entités abstraites que l'on ne peut voir, ni entendre, c'est la fonction qui active leur intuition et le sentiment que l'on appelle " la méfiance ", amer jugement de défense, qui peut laisser naître une offense particulière, envers celui qui est ressenti tel quel. Notre sagesse, né de nos cicatrices, vu comme des tatouages que l'on ne peut enlever, que l'on garde à vie et qui nous rappellent des souffrances idiopathiques qui arpentent notre enveloppe corporelle.

• Nous sommes, que le reflet de notre psychologie. Notre corps, désigne un certain intérêt à être vu comme dissemblable de tout autre. Nous aimons être vu différent, sans en savoir pourquoi, ni même le but. Nous sommes juste le fruit, d'une utopie réalisée avec succès, mais notre faible intelligence comparait à celle de tout grand être, dégrade l'idée de base que notre créateur se faisait. Nous sommes que l'échec d'une réussite... aussi contradictoire que cela puisse paraître, c'est ce qu'il en est vraiment : nous sommes le fruit d'une fantaisie puissante et sans comparables. Malheureusement, notre monde ne possède pas de vaticination aussi grande, nous nous résumons seulement à nous copier les uns des autres, sans jamais nous arrêter, tournoyant dans un vice effroyable que l'on appelle " La Vie ". Pourtant, nous vivons comme des morts et mourrons comme des êtres vivants. Sommes-nous de simples marionnettes que l'on jette d'une main impitoyable, à la poubelle, lorsque notre temps s'estompe et que nos fils sont usés à ne plus pouvoir en faire grand-chose ? C'est ce que nous voyons tous, mais c'est ce que nous ignorons.

• Les traits, sont nombreux, apportant tous quelque chose de spécifique dans la forme d'un visage. Doux et admirables, les deux mots définissant le mieux, les teintes de Juugo, l'homme à la double face majestueuse et tranchante. Sa beauté n'est pas infinie, ni même grandiose, mais elle en reste des plus admirables, du haut de ses trente années, il garde toujours un visage relativement viril et jeune, sans pousser dans l'adolescence : on lui donne très souvent dans la vingtaine. Le visage, désigne beau nombre de choses, les diverses et nombreuses expressions, peuvent remplacer aisément les mots dans certains cas. C'est aussi ce qui symbolise en partie comment nous sommes : le regard, le sourire, les yeux... toutes ces bricoles utiles, possède un pouvoir sentimental, pouvant créer un impact certain sur la personne à qui sont adressées les mimiques qui émanent de notre personne, de notre visage.

• Ses yeux, accentuent son aura, celle qui fait taire les ignares et intrigue les inconnus. Son regard est des plus profonds, narguant la mort, la peur est automatiquement rejetée de ses pupilles noisettes, lorsque celles-ci, ne passent pas au teint rougeâtre du sang, dont les cernes et la colère prennent forme : le regard effroyable d'un tueur. Pupille profonde, yeux des anciens temps, puissant comme un courroux de Dieu et connue seulement des plus grands. Ses iris à la couleur rare et peu commune, donnent une sensation d'émotion non négligeable à celui qui le fixe. Autant lorsque le regard neutre et agressif de Juugo peut mettre en confiance un quelconque inconnu, l'on ressent nullement ce qu'il cache derrière sa tête, autant lorsque le blanc de ses yeux virent à la teinture rouge, on ne ressent plus tous ces forts sentiments... nous sommes comme médusé, craintif de découvrir l'étrange pouvoir de cet homme à tous ses stades.

• Les cheveux, de longs poils crâniens flottants au gré du vent, comme-s'ils dansaient avec son souffle, comme-s'ils étaient vivants, animé de la flamme invisible qu'est la vie, mais dont nous ne voyons pas. La couleur détermine parfois un trait de caractère emblématique tel que le beau brun ténébreux, le blondinet ahuri, le roux décérébré... mais ce ne sont que des étiquettes qui ne sont que futilités, des entités abstraites dont on ne prête aucune sollicitude. Il tire plus du roux décérébré. Mais il conserve un caractère réfléchit et une gestuelle fluide lorsque ses pulsions ne se manifestent pas, le rendent propre à lui-même, on peut ainsi d'office le reconnaître, en projetant ne serait-ce qu'un léger regard sur sa personne. Mi-longs mi-courts, ses cheveux orangé flottent dans les airs, lorsque le vent souffle ne serait-ce que légèrement, ne laissant que quelques mèches recouvrir son visage.

• Teinte blanche, commune des mortels et Homme, ainsi que Femme, vivant d'une planète nommée Terre, que l'on situe comme bleue grâce à ses divers et grands océans, écumé par la flotte de guerre, les navires marchands, les bateaux Shinobi, où bataille se fait rude et tragique, où tempête et orage font rage et décès, tourbillon de néant nommé typhon, Dieu des mers qui prennent les âmes de ces personnes impies, à la pensée naïve ou grotesque, allant même jusqu'à chercher la barbarie pour quelques pièces et trois caissons de vin rouge. Corps et corpulence, l'originalité frappe vos yeux, comme un flash d'appareils photographiques, apparence des moins courantes, un gabarie des plus imposant.

• Vêtement d'été, saison chaude reconnue paisible et agréable, où fleuve et lac sont pris au dépourvu par beau nombre d'hommes accostés sur le rivage, torse nu, exhibant fièrement son buste développé. Tissus fins et élastiques cousues, rappelant une totale autonomie de vie, une totale prise en main de soi-même, d'une responsabilité sans jugement d'autrui, sans remise en garde, seul maître de ses choix et de son style. Mollets libres de tout mouvement, comme le vent, prenant en main son pouvoir : le souffle de vie, donnant agitation et illusion d'âme dans les hautes plaines vertes, ses jambes sont seulement recouvert d'un pantalon sobre très léger. Ses sandales sont confortables, portées par bien souvent des vagabonds, vivant au jour le jour, sans se soucier des causes de demain et des regrets du passé, oubliant le temps, malgré les grains de sable du sablier écoulés.

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